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Les médias sociaux avec ses tops et flops

À l’époque tout était mieux, les gens se parlaient…

crédit photo: yarr.me

crédit photo: yarr.me

De dire que tout est bien et rose, dans le monde des médias sociaux, serait certainement une exaction. Par contre, nous pouvons affirmer que c’est un média très efficace et utile lorsqu’il est utilisé à bon escient.

Consciemment ou inconsciemment, nous le savons, il en est autrement dans la réalité

En donnant quelques exemples, sur la base de top ou flops, cela devient encore plus évident. Que l’on soit amateur ou contradicteur, la question ne laisse personne indifférent. 

Tout le monde pense détenir la vérité, la seule valable… ici rien de tout cela. Uniquement des ressentis personnels. Des constats faits jour après jour. Peut-être que vous avez un autre avis sur le sujet. Oser le dire, sans pour autant vouloir avoir raison à tout prix, reste l’art absolu.

Alors GO !

Les médias sociaux ouvrent grand les portes…

Depuis que les médias sociaux ont pris leur envol, il s’est passé énormément de choses. La communication est devenue beaucoup plus aisée. Il devient facile de maintenir le contact avec des personnes de tous bords, même à l’autre bout du monde.

Pour des petites entreprises, qui par le passé n’avaient que peu de possibilités de se faire voir et entendre, ils ont trouvé une tribune libre où pratiquement tout le monde s’y promène. D’un coup, bien des choses ont changé pour eux.

Ils peuvent regatter avec les multinationales, faire du PR à un niveau international, ce que était de la science-fiction il y à peu encore. Aujourd’hui c’est une réalité, pour qui s’y intéresse un tant soit peu. Investi un peu de temps pour fournir du contenu solide et digne d’intérêt pour ses lecteurs.

C’est certain, l’outil est TOP !

Le manque de savoir-faire et les trolls…

Si les médias sociaux ont ouvert de nouvelles possibilités, elles ont également donné accès aux personnes qui ignorent tout de ce que peut signifier : être social. Parmi eux, il y a ceux qui ignorent toutes des bonnes manières, les trolls, ou ceux qui ne comprennent simplement rien au fonctionnement de ce média.

Si les uns, les trolls, il y a peu d’espoir d’en tirer quelque chose de positif. Les autres pourraient, en adaptant quelque peu leur façon de faire, changer et évoluer dans le mieux.

Parfois il faut peu de choses pour que tout change et donne une meilleure utilisation de l’outil.

Il n’y a aucun doute, c’est un FLOP !

Lorsque l’interaction va, tout va…

Ajouter un j’aime, partager…, sans commenter ou lancer aucune discussion, c’est un peu comme aller dans un magasin, dire au vendeur que son article est super, ressortir sans rien acheter et en faire de la publicité partout.

Le vrai intérêt des médias sociaux, c’est d’avoir un échange. Donner son avis. Compléter l’information fournie. Commenter et continuer à interagir. Lorsque les choses vont dans ce sens, tout le monde va évoluer et un vrai dialogue peut se créer.

Oui, c’est certain, l’interaction, c’est TOP !

Copier/coller de l’intégralité d’un texte…

Se promouvoir auteur de la publication et ainsi s’approprier le travail des autres, c’est de la tromperie de bas étage. D’abord, c’est abuser le lecteur qui assimile les connaissances et le savoir-faire au mauvais auteur, qui dit l’être. Ensuite, c’est un manque de respect pour la personne qui a fait le travail et les réflexions. Finalement, c’est se tromper soi-même…, voilà, la boucle est bouclée.

Souvent la supercherie est découverte lorsque la personne se trouve à devoir donner des informations dans la vie réelle sans y parvenir vraiment. Comme presque toujours, la vérité finit par apparaître au grand jour tôt ou tard.

Ainsi, ce comportement ne peut que mériter le FLOP !

Je publie donc je suis…

La découverte des outils de publications automatiques, une grande avancé pour les uns, une catastrophe pour les autres. S’ils peuvent être très utiles, pour mettre en place une stratégie bien pensée. Ils peuvent devenir franchement néfastes, lorsqu’ils inondent les profils de son réseau.

Si dans le premier cas, c’est TOP ! Dans le deuxième, c’est clairement FLOP !

Ce qui compte, c’est le nombre de suiveurs

À l’image de notre monde actuel, la réussite sur les médias sociaux est encore (trop) souvent assimilée au nombre de suiveurs. Un terme qui en dit long et la réalité est: que les suiveurs suivent en général partout, contrairement à une communauté qui interagit.

Si les suiveurs sont en général peu enclin à un échange actif, qui amène une plus-value aux autres. Les membres d’une communauté, même s’ils sont beaucoup moins, enrichissent en général la discussion et les autres membres.

Ici, également, il y a du TOP et du FLOP !

Une image dit plus que mille mots

La formule bien connue prend ici toute sa dimension. Attacher de l’importance à une belle image, qui dit ce qui y est écrit est un bon réflexe. Si une image inadaptée, pire, déplacée, peut diminuer la qualité de la publication et la ternir, lorsqu’elle est à sa place, elle va élever le niveau général du contenu.

Ici, également, il est essentiel de citer la source — lorsqu’elle est connue — pour respecter l’auteur, qui vous donne sans contrepartie (pour les images libres) une plus-value. Dans le cas de l’image publié ci-dessus, aucun auteur m’était connu.

Le bon choix et la citation de l’auteur, c’est le TOP !

Les mots ont une portée infinie

Pendant que les paroles s’en vont, les écrits restent. Un fait connu de (presque) tous. De se comporter en « écrivain » poltron, laisse souvent des traces indélébiles… qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses de nombreux mois et années plus tard.

Y penser, lorsque nous éditons des textes sur un coup de tête ou dans un moment de rage, serait utile avant de cliquer sur le bouton « envoyer ».

Si le clic avec le mauvais contenu est FLOP, la réflexion est TOP ! Non, même, indispensable.

Je dis ce que je pense sur tout et tout le monde

Toutes les choses sont bonnes à dire… Si cette affirmation est douteuse dans la vie « réelle » et l’est encore davantage dans la vie virtuelle. Comme dit, dans le point précédent : les mots comptent.

Ici il est question de critiquer vertement tout et tout le monde sans vergogne, aucune. Régler ses comptes avec ses amis, ennemis, famille et autres, c’est certainement une très mauvaise idée. Une idée qui fait perdre la face à tous les acteurs volontaires ou involontaires, un acte ou personne ne sort vainqueur, bien au contraire.

La situation est sans appel, un acte totalement FLOP !

Partager et commenter sans modération

C’est un acte qui est social. Donne de la visibilité à tous et génère une situation de gagnant-gagnant.

En agissant de cette manière, nous créons du dialogue, de l’échange et une reconnaissance envers la personne qui publie du contenu de qualité. Nous pouvons donner notre avis, amener de l’eau au moulin et ainsi faire évoluer le sujet à une étape suivante.

Très clairement, un TOP !

Les chaines et spams

Si vous êtes un vrai ami, une personne qui a du coeur et de la compassion, copie le texte suivant et publie-le sur ton mur. Partage ce que j’ai mis, que tu sois d’accord ou non, c’est juste pour me prouver ton amitié… et des textes similaires circulent régulièrement sur les médias sociaux.

Aucun doute possible, un FLOP de la pire des espèces !

Il y a de tout sur la toile, même des trolls

Quoi qu’il en soit, et quoi que nous fassions, il y aura encore longtemps des personnes qui enrichiront le monde et les trolls qui le détruiront… Oui, vous l’aurez compris, cette liste pourrait continuer presque sans fin, mais je vais m’arrêter ici pour l’instant.

Par contre, vous, si vous le souhaitez, vous pouvez en ajouter d’autres dans les commentaires, cela peut qu’enrichir ce poste.

Le moment de passer aux médias sociaux 2.0 est arrivé… en sommes-nous vraiment capables, voilà la question.

Qu’en pensez-vous ?

Mon ressenti

Tout en étant un grand amateur des médias sociaux, je garde à l’esprit qu’ils sont un outil et qu’ils doivent le rester. Lorsque je vois où entend que certaines personnes qui se côtoient quasiment en permanence, envoient des messages pour se parler… le quota est atteint.

C’est à nous de trouver la bonne dose et le bon moment, pour garder le juste milieu et rester maître de la situation. Parfois la limite est très proche, restons attentifs...

Jusqu'au prochain post, je vous souhaite plein succès et à très vite ici, Martin.

 

Pourquoi les clients me disent-ils non ?

« L’échec est la mère du succès. » Proverbe chinois

Paul est à moins d’une heure du rendez-vous

Il est 7 h 30, Paul boit tranquillement son café, en lisant les dernières nouvelles du monde.

Loin de penser au rendez-vous, qui va débuter dans moins d’une heure, et des préoccupations de son peut-être futur client. Lorsque Paul se met en route, pour arriver à l’heure chez son premier client de la journée, il est loin de savoir ce qu’il l’attend en arrivant chez lui.

Paul fait connaissance avec son client

Bonjour, mon nom est Paul Dufresne, j’ai rendez-vous avec monsieur Dupuis, dit-il avec nonchalance à la personne qui le reçoit.

Veuillez prendre place quelques instants, je vais avertir monsieur Dupuis de votre arrivée.

Paul est maintenant assis et tend sa main vers un magazine spécialisé dans le golf, qui se trouve sur la petite table devant lui.

Après quelques minutes d’attente, monsieur Dupuis est devant lui, ils se saluent et partent dans son bureau.

Les présentations sont rapidement faites, ce qui permet à Paul de passer à la présentation de ses produits. Il débite sans relâche, en usant de tous les arguments possibles et imaginables, les avantages multiples de son produit-phare qui est, comme il prétend ; le meilleur du marché, avec en plus un prix imbattable.

Environ trente minutes plus tard, il est au bout de son latin, et il a utilisé tout ce qu’il avait en réserve.

Il se dit, que c’est le moment de demander au client ce qu’il pense de son produit.

De la science-fiction, dites-vous ?

Non, malheureusement, c’est régulièrement la réalité.

Quelle peut bien être la réponse du client ? Vous vous en doutez certainement.

Je fais autrement, me direz-vous. Oui, ce serait souhaitable pour vous et les autres personnes présentes.

Quel est le constat ?

  • À aucun moment, Paul s’est préparé pour l’entretien
  • Il arrive chez son client sans savoir qui il est, et ce dont il a vraiment besoin
  • S’est-il intéressé à savoir ce que son client pense ? Selon ce scénario, certainement non
  • Comment Paul peut-il savoir ce dont son client a besoin, s’il ne pose aucune question ? 

Vous l’aurez compris, la chance est assez mince pour qu’il trouve la bonne réponse.

Ce cas est poussé à l’extrême, certes. Il correspond cependant à ce qui se passe dans la plupart des cas où un commercial a des échecs à répétition.

Que faire, pour changer cette situation ?

  1. Préparez-vous pour le rendez-vous
  2. Faites des recherches sur l’entreprise et la personne (si vous ne les connaissez pas encore). Avec l’Interne,t vous avez un outil puissant. Il va vous permettre d’en apprendre beaucoup sur les deux, dans la plupart des cas
  3. Avant de commencer votre présentation, demandez au client, ce dont il a besoin et quelles sont ses priorités
  4. Fort de ces informations, présente- lui uniquement la meilleure variante (celle que vous choisiriez pour vous), que votre expérience vous dicte. À aucun moment vous devriez être guidé par une aspiration mercantile
  5. Posez-lui des questions, encore des questions et toujours des questions
  6. Regardez son attitude (il n’est nullement nécessaire d’être un expert en morphopsychologie, pour décrypter cette dernière…). S’il est fermé (par exemple avec les bras croisés), continuez de poser des questions, vous n’êtes pas encore sur la bonne voie. S’il est ouvert et intéressé (par exemple s’il se penche en avant), continuez sur le même chemin, vous semblez être à la bonne place
  7. Propose- lui les diverses options possibles, assurez-vous qu’il a tout compris et qu’aucune question n’est restée ouverte
  8. En cas d’accord, donnez-lui un stylo pour signer le contrat de vente
  9. Demandez-lui éventuellement des recommandations (selon la branche et l’usage)
  10. Fixez le prochain rendez-vous, s’il a lieu d’être
  11. Passez encore un peu de temps avec lui (si son temps le permet) pour parler d’autre chose que d’affaire. Cette démarche favorise les relations humaines, à condition qu’elle soit sincère
  12. Agendez un suivi, lorsque le produit ou le service l’exige
  13. Gardez le contact (annoté avec quelques renseignements importants) dans votre outil de contacts

Si vous connaissez bien vos produits ou services, et qu’ils sont de qualité, rien ne devrait vous empêcher de réussir mieux.

Je vous encourage…

À vous préparer pour vos rendez-vous, de poser beaucoup de questions, et de vous intéresser à votre client et à ses besoins spécifiques. Vous aurez des biens meilleurs résultats commerciaux, et gagnerez l’estime et la confiance de vos clients.

Restez authentique, car les jeux de rôle sont vite démasqués.

Tentez un essai, je me réjouis de lire vos commentaires.

Articles similaires : http://www.martingysler.com/blog/2014/12/17/je-matrise-le-sujet-mais-choue-tout-de-mme

Je maîtrise le sujet, et pourtant j'échoue !

Vous expliquez d’A – Z le service ou le produit. Usez de tous les arguments possibles et imaginables. Pour entendre finalement un NON, qui semble... définitif !

Que s’est-il passé ?

La première chose qui traverse souvent notre esprit : j’ai échoué, je suis déçu de moi, ou quelque chose de similaire.

Pour y voir plus clair, quelques questions que nous pourrions nous poser

  1. N’ai-je pas su reconnaître les besoins ?
  2. Ai-je posé les bonnes questions ?
  3. Avait-il/elle/eux vraiment besoin de ce que je proposais ?
  4. Ai-je demandé s'il restait des questions ?
  5. Ai-je demandée une signature pour terminer ?

Il y en a d’autres, c’est certain, or c’est assurément un ou plusieurs de ces cinq points qui nous font régulièrement échouer.

Et vous, comment se passent vos entretiens ?

Pour l’avoir vécu à de très nombreuses reprises, avec des commerciaux que j’accompagnais, c’est le dernier point qui pose souvent problème. Lorsque tout est dit et que le client attend qu’une chose : conclure, ils repartent dans des explications supplémentaires et inutiles, qui font que le/les vis-à-vis se demandent si c’est finalement une bonne idée.

Cela semble incroyable, et pourtant !

Dans notre vie personnelle ou/et professionnelle, nous sommes en permanence dans une démarche d’achat/vente et de négociation. Vu que chaque entretien est différent, il est difficile de donner une recette unique.

Ce qui semble immuable et compte vraiment, c'est

  • L’écoute active (ce qui sous-entend que vous entendez ce qui est dit)
  • Poser des questions, dès le début de l’entretien (cela va éviter les fausses pistes)
  • Oser demander, par exemple, la signature, même si la réponse pourrait être non
  • Oser donner quelque chose de réel, à votre vis-à-vis, ce qui augmente la confiance et vous approche de la/les personne-s présentes
  • Savoir dire merci, quel que soit le résultat, car même un non peut devenir positif par la suite
Soyez vous-même. Restez ouverts d’esprit et honnête. Posez des questions et soyez à l’écoute de votre interlocuteur.

En suivant ces quelques conseils, cela devrait vous soutenir à obtenir de meilleurs résultats. 

Je vous encourage à avoir confiance en vous, et de prendre les risques nécessaires pour réussir vos démarches qui ont peut-être échoué jusqu’à ce jour.

Osez, c’est le seul moyen d’y parvenir, et voyez chaque échec comme une opportunité de progression, même si c’est difficile.

Plus efficace et moins stressé

Ce qui est important est rarement urgent et ce qui est urgent rarement important. -Dwight D. Eisenhower

Je ne sais pas par où et avec quoi commencer…

C’est le genre de phrase qui montre tout le dépit que ce sujet peut provoquer.

Il existe de nombreuses méthodes, pour appréhender ce problème. Si je devais en garder qu’une, ce serait certainement celle de l’ancien président Dwight D. Eisenhower.

Simple à comprendre, et à mettre en œuvre, elle nous permet de rapidement améliorer notre situation de stress et gagner plus de confort dans nos activités journalières. Seule condition, s’en servir le plus souvent possible.

La méthode nous apprend à faire la différence entre l’important et l’urgent. Elle devrait également nous animer à commencer le travail dès que les priorités sont définies.

Principe

  1. Récolter toutes les tâches qui nous sont confiées ou qui nous incombent
  2. Donner une priorité d’A – D et faire ou déléguer (lorsque, c’est possible) les tâches en question

Matrice

Situation

Nous avons tendance à nous focaliser sur les tâches "A". Si nous sommes le plus souvent dans cette case, c’est qu’il y a un problème. Soit trop de travail, soit une mauvaise organisation. Vous l’aurez compris, l’idéale serait de se trouver le plus souvent dans la case "B".  Pour y arriver, la meilleure manière est de planifier et de savoir dire non lorsque c’est nécessaire. Un autre moyen, abandonner les tâches "D" lorsque c'est possible.

Constat

Nous (il y a des exceptions…) avons également tendance à nous trouver (trop) régulièrement dans la case "D". La raison ? C'est souvent des tâches agréables, qui nous permettent de repousser les tâches "A" et "B". C’est ce qui provoque finalement que les tâches "B" deviennent des tâches "A". 

Dans quelle case êtes-vous le plus souvent ?

Motivation

Un très bon moyen est de faire une liste journalière, en fonction de la matrice, et de biffer chaque tâche terminée. Cela semble être futile, ce qui n'est nullement le cas. En fin de journée, dans le cas idéal, vous avez une liste ou toutes les tâches sont biffées, quel bonheur ! 

Ceci va vous donner une occasion de vous féliciter et de fêter votre réussite. Cette démarche, très importante, à en plus un effet antistress significatif. 

Vous avez à présent les outils nécessaires pour améliorer votre quotidien, utilisez-les.

Bon travail !

La gestion de projets ou le casse-tête chinois

Comment gérez-vous les vôtres ?

Une activité où la communication et le flux d'information sont essentiel...

Pour celles et ceux qui ont déjà eu l’occasion de gérer un projet professionnel, savent que de nombreux défis attendent le responsable de projet. Il y a beaucoup de choses auxquelles il faut penser. De l’enchaînement des tâches, qui doivent se passer avec le moins de décalage possible, à une communication uniforme. Uniquement ces deux points peuvent déjà mettre à rude épreuve une équipe de projet.

La même chose est également vraie dans certaines situations de la vie privée, qui est souvent jonchées de projets. Qu’il s’agisse d’un déménagement, d’une rénovation d’un bien immobilier ou encore simplement des vacances en famille qui peuvent parfois être assimilées à un vrai challenge.

Vous êtes à l'ancienne ou au moderne ?

Êtes-vous plutôt orienté, tableau et Post-it, voire feuille de papier ? Ou la version plus moderne (ce qui est mon cas dans la plupart des cas) ? Les deux variantes peuvent également être utilisées en même temps, dans certaines situations.

Trello

Podio

Heureusement (pour moi) qu’ils existent, ses outils faciles à utiliser et souvent gratuits. 

Nous sommes d’ailleurs à des années-lumières de Microsoft Project. Qui, en plus du prix élevé, demande une certaine expertise dans son utilisation ainsi que des outils informatiques. 

Aujourd’hui, vous pouvez avoir recours à un logiciel simple et efficace qui fonctionne sur toutes les plates-formes. Que ce soit sur votre ordinateur, la tablette ou le smartphone, vous y avez accès à tout moment et avec une mise à jour automatique. Le reporting - pénible, et inutile - qui provoque de nombreuses erreurs, disparaît. 

Autre avantage, vous pouvez inviter les membres de votre équipe, que ce soit la famille, les amis, les membres d’un club, d’une société ou votre équipe de projet en entreprise, a participer activement au projet. 

Le fait de pouvoir réunir tout le monde est également un immense avantage pour la communication vu que chacun est informé de la même manière et au même moment. Fini les courriels où l’on oublie parfois d’ajouter une adresse d’un participant. Ou des échanges qui se limitent à un ou deux membres, qui demandent un travail supplémentaire pour informer le reste de l’équipe ensuite, avec tous les oublis et déformations qui peuvent se produire.

Quelques outils que j’utilise au quotidien

  • Trello (https://trello.com/tour) - un outil très simple, mais assez puissant pour gérer des projets. Je l’utilise également pour la gestion de mes projets personnels, comme pour le billet des courses que je partage avec la famille.

  • Podio (https://podio.com/site/tour) - qui est un outil plus complet, mais également plus complexe. Il permet la mise en place de ses propres templates, si souhaité, pour l’adapter aux besoins spécifiques d’une entreprise.

Les deux sont gratuits et ont une application dédiée aux tablettes et de smartphones, ce qui facilite grandement leur utilisation. Il en existe beaucoup d’autres, que vous trouverez facilement par une recherche Google.

Vous constaterez rapidement qu’il est bien plus confortable de s’organiser avec une telle aide. Vos divers projets vont rapidement prendre une autre tournure, et les personnes vous apprécieront encore davantage pour votre organisation.

Oui, c’est possible que vous rencontriez une opposition de la part de certains membres de l’équipe... comme partout, il est difficile de faire l’unanimité.

Je reste cependant convaincu que d’essayer, c’est l’adopter !

Vous m’en direz des nouvelles...