Réflexion

L’homme providentiel qui croyait au lendemain

Nelson Mandela, un homme doté d’un leadership et d’un charisme hors du commun. Qui par ses actes, ses paroles, et ses écrits, va marquer pour longtemps encore les esprits de notre monde.

Ce que Nelson Mandela m’inspire

C’était un personnage exceptionnel, qui a marqué le XX et le début du XXIe siècle. Sa manière d’être, de penser, et de redonner espoir à tout un peuple, en leur faisant comprendre qu’une cohabitation entre diverses ethnies était possible, est tout simplement exceptionnel.

L’idée de ce billet est d’utiliser des citations de Nelson Mandela, et des les assimiler à des situations de la vie de tous les jours, pour en tirer des parallèles et nous pousser à la réflexion.

Note: La plupart des citations ou extraits, qui sont utilisées dans ce billet, proviennent du livre : Un long chemin vers la liberté.

Nelson Mandela 

L’ancien président de l’Afrique du Sud, est mort jeudi 5 décembre à l’âge de 95 ans. Depuis 1999, le héros de la lutte contre l’apartheid s’était retiré de la vie publique, ne faisant que de rares apparitions.

En 2003 pourtant, il était sorti de son silence pour commenter l’action de George W. Bush, « un président qui ne sait pas réfléchir », et condamner le lancement de l’attaque en Irak. Car tout au long de sa vie, la parole fut la plus grande arme de Nelson Mandela.

Un peu d’histoire

La loi a fait de moi un criminel non pas à cause de ce que j’ai fait, mais à cause de ce que je défendais, de ce que je pensais, à cause de ma conscience.

En 1964, au procès de Rivonia, au terme duquel il fut reconnu coupable de sabotage, de destruction de biens, et de violation de la loi en vigueur sur l’interdiction du communisme, Nelson Mandela avait, avant sa condamnation à la prison à vie, prononcé les mots suivants :

Au cours de ma vie, je me suis entièrement consacré à la lutte du peuple africain. J’ai lutté contre la domination blanche et j’ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d’une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. J’espère vivre assez pour l’atteindre. Mais si cela est nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir.

Ces paroles en disent long sur la personne, et la foi qui la dirigeait. Voici la bande originale (en anglais) de son intervention à Rivonia le 20 avril 1964.

A l’issue de ce procès, Nelson Mandela est condamné à la prison à vie. Il restera vingt-sept ans derrière les barreaux, sous le matricule de prisonnier 46 664.

Un homme d’une grande intégrité

Si vous avez vu le film sur la vie de Nelson Mandela (2013) — qui fût un moment incroyablement inspirant pour moi — vous avez eu l’occasion de constater quel genre d’homme, il est.

Doté d’un courage singulier, il a su grandir là où la plupart de ses semblables sombrent souvent au plus profond de l’abîme. Il disait d’ailleurs :

La prison et les autorités conspirent pour dépouiller chacun de sa dignité. Cela en soi m’a permis de survivre… de rester fondamentalement optimiste, car, de se laisser aller au désespoir mène à la défaite et à la mort.

Après avoir été libéré de prison, il a tout mis en œuvre pour induire des changements profonds en Afrique du Sud, le pays qui avait pourtant tout fait pour le faire taire à jamais.

Le courage et la peur

J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité à la vaincre.

Être dépourvu de peur n’est nullement garant d’une capacité à les affronter et à les surmonter.

Si vous avez en face de vous une personne qui semble n’avoir aucune crainte, rien ne sert de l’envier…, il peut également s’agir d’individus dotés de peu de courage et incapables d’accomplir les actes nécessaires pour ce qui devrait être fait.

Ce qui me fait dire : il vaut mieux avoir peur et de la surmonter, cela va nous donner plus de force et de courage.

Impossible, dites-vous ?

Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse.

Cette citation plus que tout autre est une représentation claire de Nelson Mandela. Tout le monde pensait que son combat pour l’égalité était impossible, jusqu’à ce qu’il l’ait fait.

Nous avons souvent trop peur, ou sommes trop pessimistes, pour tenter des choses qui sont généralement considérés comme impossible. Nous préférons dès lors dire : à quoi bon essayer, vu que c’est certainement impossible à réaliser.

La définition d’impossible est une constante sans cesse mise à mal, par ceux qui croient que l’impossible, c’est possible. Lorsque ceux-ci finissent par le faire et qu’ils réussissent, parfois au grand dam de certains pessimistes, ils démontrent que l’action et la foi ouvrent de toutes nouvelles portes et des possibilités insoupçonnées.

Le temps, le bien le plus précieux

Nous devons utiliser le temps à bon escient et nous rendre compte qu’il est toujours temps de faire le bien.

Le temps de faire ce que vous voulez est maintenant !

Lorsque le temps est venu, le «si» ou le «mais» n’ont plus raison d’être. Il n’y aura peut-être plus de seconde chance pour réaliser ce qui est sur le point d’être remis à demain. D’utiliser notre temps à bon escient, et de saisir les opportunités quand elles se présentent, semble vraiment important.

Il suffit de penser ce qui se serait passé si Nelson Mandela avait commencé à mettre son plan en action seulement dix ou vingt ans plus tard, aurait-il encore eu la force de le faire et de réussir ?

L’argent et le succès

L’argent ne va pas créer le succès, la liberté de le faire oui.

Le succès est souvent mesuré par la quantité de richesse accumulée, est-ce la vraie et unique richesse ?

Il est vrai que chacun de nous a droit à sa propre définition du succès. Cependant, un constat que Nelson Mandela et bien d’autres ont fait :

Ceux qui mesurent seuls le succès à la richesse financière sont souvent victime d’avidité et dirigés par leur égoïsme.

Pour cette raison, d’avoir une définition qui englobe également d’autres personnes, dans un plan du succès, semble appropriée.

Le succès pourrait également être le fait de jouir d’une certaine liberté, ce que Nelson Mandela ne pouvait avoir que dans son esprit durant les longues années de sa privation de liberté. À ce sujet il disait :

Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu’un d’autre de sa liberté. L’opprimé et l’oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité.

Le cœur et l’esprit

Une tête bien faite et un bon cœur forment toujours une formidable combinaison.

Toute personne, avec un esprit et un cœur bon, a le pouvoir de changer le monde de manière positive. Nelson Mandela avait cette combinaison de tête et de cœur, et l’utilisait pour faire du bien pour son peuple, plutôt que de simplement penser à lui-même comme priorité absolue.

Cette affirmation prend tout son sens lorsqu’il disait :

Je crois en la bonté innée de l’homme et pense que la persuasion morale et la pression économique peuvent très bien entraîner un changement dans le cœur d’une partie des Sud-Africains blancs.

En expliquant la politique de non-violence de l’ANC, il insista sur le fait qu’il y avait une différence entre la non-violence et le pacifisme, ce qu’il expliqua de la manière suivante :

Les pacifistes refusent de se défendre, même quand on les attaque avec violence, ce qui n’est pas nécessairement le cas avec ceux qui ont choisi la non-violence.

Parfois les hommes et les nations, même non violents, doivent se défendre quand on les attaque.

Le devoir de chacun

Quand un homme a fait ce qu’il considère être son devoir, envers son peuple et son pays, il peut reposer en paix.

Nelson Mandela a estimé qu’il serait en mesure de se reposer en paix lorsqu’il aura fait son devoir envers son peuple. Ce fut sa priorité durant sa vie, et son processus de pensée est que jusqu’à ce qu’il ait fait son devoir, il ne serait pas en mesure de reposer en paix.

Vu ainsi, seriez-vous en mesure de reposer en paix à l’instant précis ?

Sinon, que pourriez-vous faire pour mieux aider vos proches dans le futur ?

La passion et la réussite

Tout le monde peut s’élever au-dessus des circonstances et réussir si elles sont passionnées par ce qu’ils font.

Quand tout va au plus mal ; le dévouement et la passion, mise à chaque instant dans ce que vous faites, détermine souvent de la réussite ou de l’échec.

Tout est possible, si vous aimez ce que vous faites et que vous vous engagez totalement. Cette passion qu’a démontrée Nelson Mandela, et le succès qu’il a atteint tentent de soutenir cette idée.

Le respect de la liberté

Être libre est non seulement se débarrasser de ses chaînes, mais de vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.

Il est dans la nature humaine de vouloir aider les autres, pour la plupart d’entre nous du moins. C’est en vivant de cette manière que nous pouvons vraiment être heureux dans notre propre vie.

Se relever après l’échec

Ne me jugez pas par mes succès, mais plutôt par le nombre de fois que je suis tombé et que je me suis relevé à nouveau.

Les gens sont souvent jugés sur la base de leurs succès, car c’est la seule chose que la plupart des gens voient. Ce qu’ils ne voient pas, ce sont toutes les fois que quelqu’un est tombé avant et qu’il a malgré tout gardé la foi en lui pour remonter la pente.

De tenir compte de cet aspect, et non seulement du résultat final, serait une belle avancée dans notre état d’esprit.

Des citations pour s’inspirer

Oui, Nelson Mandela est une véritable inspiration pour moi. Son chemin de vie, et tout ce qu’il a fait pour son peuple est tout simplement extraordinaire.

Peut-être, comme moi, il va vous animer à la réflexion et vous inspirer pour reconsidérer votre façon de penser et de vivre votre vie.

Comment allez-vous mettre en pratique

Même si notre chemin de vie et destin est différent de celui de Nelson Mandela, nous avons des choses à réaliser, comme par exemple : devenir meilleur, une ambition que chacun de nous pourrait envisager dès maintenant.

Par où allez-vous commencer ?

Prenez des mesures efficaces pour optimiser votre potentiel

Est la quatrième étape — d’une méthode fondée sur cinq — pour vous soutenir dans la recherche vers votre épanouissement.

Photo d’Adam Horton

« Le pouvoir de votre potentiel résulte de la fusion de vos champs d’intérêt et de ceux du monde qui vous entoure. »

L’évolution consiste à transformer la vieille identité

Plus que de laisser derrière soi son ancienne identité et n’écouter que la nouvelle.

La véritable croissance intègre et transforme la vieille identité de l’individu ; sans la détruire, ni la repousser. Il est ainsi inutile de jeter à la poubelle tout ce que vous avez appris et étudié pendant des années, pour concrétiser vos rêves.

Mettez-vous votre énergie au bon endroit ?

Peut-être que votre esprit est déjà rempli de plans et de solutions, et vous possédez les bases à partir desquelles vous pourrez passer à l’action.

Dans ces moments, vous pourriez être tellement occupés à élaborer vos plans que vous omettez de vous arrêter pour vous demander si ses efforts optimisent votre potentiel.

Établissez un lien entre vos actions et l’expérience émotionnelle

Qui ont résulté de la découverte de votre potentiel.

Parfois nous nous laissons attraper par nos anciennes habitudes. Il suffit d’un nouveau projet, et nous réutilisons notre ancienne identité pour tenter de le concrétiser. Mais quelle importance ont ces actions si vous laissez filer les sentiments que l’expérience de la découverte de votre potentiel à générée chez vous ?

Utilisez l’expérience émotionnelle de vos découvertes

Pour vous assurer que vos actions sont efficaces, et pour rétablir un lien émotionnel avec le potentiel que vous venez de découvrir. Vous pouvez vous rappeler les sentiments que vous avez éprouvés lorsque vous avez découvert votre potentiel.

Prenez du recul et posez-vous la question

Quelle action sera avantageuse pour le monde qui m’entoure, et pour moi ?

En trouvant une réponse à cette question, vous allez au-delà des limites de votre identité sans renoncer à votre potentiel. Vous rétablissez également un lien entre vos actions et l’expérience émotionnelle qui ont résulté de votre découverte.

Des actions qui ne visent qu’à accroître votre propre importance

Sont autant de pièges qui risquent de vous emprisonner à nouveau dans le mécontentement.

Évitez de tomber dans le piège, en misant sur des actions qui ne visent qu’à accroître votre propre importance, qui vous emprisonne à nouveau dans le mécontentement et qui vous fixe des limites.

Si vous continuez à penser aux possibilités qui existent, non seulement pour vous, mais pour tous les habitants de la planète, il est peu probable que vous restiez prisonnier de vos limites.

Demandez-vous sans cesse :

  • Qu’est-ce qui serait avantageux pour tous ceux que cette situation touche, y compris moi ?
  • Quelle possibilité serait avantageuse globalement ?

C’est également une très bonne opportunité pour me soucier des relations avec mes proches, de mes employés ou encore de mes clients.

J’ai une occasion de faire une différence pour les gens dès maintenant, et je me rends peut-être compte à quel point j’ai accompli peu de choses en ce sens.

Établissez un lien entre vos actions et l’expérience émotionnelle

Qui ont résulté de la découverte de votre potentiel.

Parfois nous nous laissons attraper par nos anciennes habitudes. Il suffit d’un nouveau projet, et nous réutilisons notre ancienne identité pour tenter de le concrétiser. Mais quelle importance ont ces actions si vous laissez filer les sentiments que l’expérience de la découverte de votre potentiel à générée chez vous ?

Utilisez l’expérience émotionnelle de vos découvertes

Pour vous assurer que vos actions sont efficaces, et pour rétablir un lien émotionnel avec le potentiel que vous venez de découvrir. Vous pouvez vous efforcer de vous rappeler les sentiments que vous avez éprouvés lorsque vous avez découvert votre potentiel.

Nous devons aller au-delà de notre statut de simple grain de sable sur la plage

Souvenez-vous que nos actions doivent être fondées à la fois sur nos propres intérêts et sur ceux du monde qui nous entoure. C’est ainsi que nous pouvons réellement optimiser notre potentiel, et l’aligner sur notre nouvelle identité.

Nous devons également garder vivace ce sentiment que nous avons ressenti lorsque nous avons découvert le sens que nous voulons donner à notre vie.

Lorsque vous passez à l’action

Gardez à l’esprit une vision globale

Même si le résultat demeure incertain ou que vous n’avez pas encore déterminé le moyen de l’atteindre.

Chaque fois que vous faites un geste en vous fondant sur ce qui vous relie émotionnellement à votre potentiel, vous faites un petit pas dans l’inconnu.

Alors, chaque fois que vous allez de l’avant, vous faites un petit pas qui vous éloigne des limites de votre identité. Même si ce petit pas peut paraître effrayant, chaque fois que vous en ferez un, vous serez récompensé par des sentiments positifs qui sont inhérents à une vie fondée sur l’optimisation de votre potentiel.

Vous pouvez fonder votre potentiel sur votre passé, sur vos connaissances et ce que vous êtes vraiment.

Faites-vous plaisir, n’imitez personne.

À mesure que le temps passe

Vous trouverez peut-être de plus en plus difficile de vous concentrer.

Après encore quelques semaines, votre projet ne suscitera plus aucun enthousiasme chez vous. Et puis, un jour, vous constatez que les mêmes vieux sentiments de mécontentement refont surface…

Oui, une rechute reste possible

Lorsque l’on tente pour la première fois à tirer parti de nouvelles possibilités, et que les vieilles habitudes reviennent à la surface.

Ce retour, vers votre ancienne identité et au mécontentement qui l’accompagnait, vous rappelle qu’il faut rester vigilant à tout instant pour instaurer un réel changement dans votre vie.

La quatrième étape en bref

  • En misant sur des actions qui ne visent qu’à accroître votre propre importance, vous tombez dans un piège qui vous emprisonne à nouveau dans le mécontentement.
  • Établissez un lien entre vos actions et l’expérience émotionnelle qui ont résulté de la découverte de votre potentiel.
  • Pour rétablir un lien émotionnel avec le potentiel que vous venez de découvrir, prenez un peu de recul et posez-vous de nouveau cette question : Quelle action sera avantageuse pour le monde qui m’entoure, et pour moi ?
  • Lorsque vous passez à l’action, gardez à l’esprit une vision globale, même si le résultat demeure incertain ou que vous n’avez pas encore déterminé le moyen de l’atteindre.

Exercice d’épanouissement

Prendre des mesures efficaces, ce n’est pas nécessairement d’effectuer de grands changements ou d’atteindre de grands buts. Il peut également s’agir de faire une série de petits pas dans l’inconnu et d’avancer vers la découverte de grandes possibilités.

Tant que vos actions demeureront reliées au potentiel que vous venez de découvrir, vous accumulerez avec le temps des résultats significatifs et positifs.

Marche à suivre :

  1. Réservez-vous quelques minutes dans un endroit calme et confortable, et songez à cet aspect de votre potentiel qui vous passionne le plus.
  2. De quoi vous souciez-vous véritablement ?
  3. Qu’est-ce qui est vraiment important pour vous ?
  4. Qu’est-ce qui repose au cœur de ce que vous êtes ?
  5. Pensez à un petit pas que vous pourriez faire aujourd’hui pour avancer dans la direction que vous jugez la plus importante pour vous et le monde qui vous entoure. Comme de téléphoner à un vieil ami, ranger votre placard ou de classer quelques papiers. Vous pourriez également décider d’aller courir ou de faire un dépôt dans votre compte épargne, acheter un nouveau vêtement, vous réserver un après-midi ou de passer une heure de plus avec vos enfants. 
  6. Tant et aussi longtemps que votre geste s’inscrit dans une vue d’ensemble et qu’il est émotionnellement relié à votre potentiel, il contribuera à sa réalisation.
  7. Mettez par écrit les mesures qui vous rapprocheront de la concrétisation de votre rêve. Déterminez ensuite si vous êtes prêt à aller de l’avant. Si oui, faites-le aujourd’hui même.
  8. Constatez les résultats et réjouissez-vous de votre réussite

Vous n’êtes plus un simple grain de sable, mais la plage tout entière.

Cela peut surprendre, mais en vous souciant de choses qui semblent être hors de votre portée, vous risquez d’accomplir des miracles.

Faites ce pas supplémentaire, et constatez les résultats !

Vous avez aimé cette publication, et la case des commentaires est absente, cliquez simplement sur le titre de l’article.

Article apparentés  

Affrontez le pouvoir de votre potentiel

Est la deuxième étape — d’une méthode fondée sur cinq — pour vous soutenir dans la recherche vers votre épanouissement.

Affrontez le pouvoir de l’inconnu

Rappelez-vous que le but premier de vos mécontentements est ; de vous pousser à saisir l’occasion d’apporter de véritables changements dans votre vie.

La peur de passer à l’action, sans comprendre les véritables possibilités qui s’offrent à nous, nous empêche régulièrement de les saisir.

Prendre des décisions radicales

Uniquement pour échapper à notre sentiment d’insatisfaction, c’est certainement le mauvais plan. Cela d’autant plus, qu’il est souvent inutile d’apporter un changement radical pour éliminer l’insatisfaction.

Vous pouvez prendre le temps de laisser votre mécontentement vous guider vers la découverte de quelque chose de fondamentalement nouveau. Lorsque la découverte est faite, vous pourrez passer à l’action avec efficacité. Cela va vous éviter des gestes, qui vont qu'aggraver vos problèmes.

Permettez au processus, consistant à affronter l’inconnu, de suivre son cours . Car de faire ce que vous avez toujours fait ne constitue que l’ordinaire. Cela signifie davantage de mélanger les cartes que de ramasser une nouvelle donne.

Peut-être que notre identité doit changer

Ou grandir avant que nous puissions découvrir notre potentiel. 

En nous créant une identité, c’est comme si nous avions créé une zone de confort qui nous est familière. Notre identité nous aide à résoudre des problèmes et à entretenir des rapports avec les autres. C’est comme une manivelle avec laquelle nous gérons les situations de notre vie. Elle nous permet d’adopter une conduite prévisible et constante.

Mais en même temps elle nous emprisonne.

Avec "voici ce que je suis" vous exprimez un statu quo plutôt que d’envisager un changement nécessaire.

Peut-être que notre mécontentement nous dit que notre identité , la perception que nous avons de nous-même et du monde , se doivent d’être améliorées.

Si nous nous débâtons dans l’inconnu c'est parce qu’il nous semble difficile, sinon impossible, de sortir de notre zone de confort.

Avec les repères que nous procure notre identité

Nous ne pouvons voir que ce que nous avons toujours vu.

Comment pourrions-nous découvrir de nouvelles possibilités, si nous considérons les événements du même regard et du même point de vue ?

Nous devons permettre à notre identité de changer avant d’être en mesure de trouver de nouvelles approches aux questions qui nous préoccupent.

Si nous n’arrivions pas à trouver une solution fondamentalement pertinente à nos problèmes, c’est parce que toutes les réponses nous sont dictés par une manière d’être et un mode de pensée qui est cristallisée dans notre identité.

Il semble que nous devons découvrir qui nous croyons être, avant d’être en mesure de découvrir qui nous voulons être.

Des occasions en or pour découvrir son potentiel

Mais encore faut-il être capable de les saisir, parce qu’à force d’être trop occupé à étudier les options actuelles, nous en oublions les autres possibles.

Tant que nous soutenons connaître les réponses à toutes nos questions, nous ne faisons que nous appuyer sur notre identité actuelle.

Il est important de vous rappeler que l’état actuel des choses est à l’origine d’un grand nombre de nos problèmes. En cherchant dès maintenant à trouver des réponses à vos questions, vous fermez la porte à l’inconnu. 

En vous donnant, par contre, la liberté d’attendre qu’une réponse pertinente surgisse, vous vous donnez l’occasion de faire une importante découverte à propos de vous-même et de votre situation.

N’exigez pas d’avoir toutes les réponses immédiatement, car la porte s’ouvrant sur votre potentiel pourrait demeurer fermée.

L’inconnu n’est qu’un processus

Qui nous permet de découvrir qui nous sommes et de quoi nous sommes capable. 

Lorsque vous dresserez la liste (dans l’exercice de réflexion ci-après) de toutes vos options et de toutes vos priorités sur le côté gauche du tableau, et tous les pour et les contres, sur le côté droit du tableau, vous constaterez probablement qu’il s’agit que d’une énumération d’options habituelles et connues.

Il n’y aura rien sur cette liste, qui vous obligera à sortir de votre zone de confort. Qui va vous mettre dans une position favorisant une découverte significative, ou une nouvelle voie sur laquelle orienter votre vie.

Vous pouvez vous servir de votre imagination

Pour commencer à explorer l’inconnu

Votre imagination à la capacité à transcender les limites de votre identité et elle peut évoluer dans l’inconnu. Vous pouvez utiliser vos sens pour vous imprégner des expériences qui seraient les vôtres si votre identité évoluait.

Comment vous sentiriez-vous si vous étiez différent ?

Projetez dans votre esprit un scénario de ce qui est possible. Imaginez les sensations qui seraient alors les vôtres, et utilisez votre imagination pour ouvrir la porte à votre potentiel.

Et si… 

…Nous étions capables d’imaginer l’avenir ?
…Nous devions nous servir de notre imagination et de nos sens pour découvrir une nouvelle façon d’aller de l’avant ?

Ce sont des questions qui peuvent changer le monde, et votre vie, de manière significative.

La deuxième étape en bref

Affronter le pouvoir de l’inconnu exige que l’individu mécontent comprenne qu’il arrivera que difficilement à trouver une solution sans d’abord remettre en question son identité telle qu’il la perçoit.

  • Ne vous précipitez pas dans l’inconnu. Il faut prendre le temps de l’explorer si l’on veut découvrir de nouvelles possibilités.
  • Mettez à profit le temps que vous passez dans l’inconnu pour évaluer, comprendre et faire évoluer votre identité.
  • N’exigez pas d’avoir toutes les réponses immédiatement, car la porte de l’inconnu demeurera fermée.
  • Servez-vous de votre imagination pour ouvrir la porte de l’inconnu. Utilisez vos sens pour vous imprégner des expériences qui seraient les vôtres si votre identité évoluait.
  • Faites un pas de plus, ouvrez la porte de l’inconnu.

Exercice de réflexion

Commencez à imaginer ce qui est possible, et à explorer un peu plus l’inconnu qui vous entoure.

  1. Dessinez un point au milieu d’une page vierge, qui représente la situation actuelle.
  2. Tracez un petit cercle autour de ce point, qui correspond ce que la situation sera dans deux ans.
  3. Et un plus grand cercle autour du premier, à ce qu’elle sera dans cinq ans. En se faisant, nous imaginons la situation dans laquelle nous nous trouvons. Nous décidons ce que nous voulons devenir, et fixons des buts pour y arriver.
  4. Passez ensuite à une séance de remue-méninges et imaginez, ou vous/votre entreprise sera dans deux à cinq ans. Envisagez toutes les possibilités.

Si notre identité actuelle est égale à notre zone de confort — et que plus rien n’est confortable lorsque nous nous en écartons — il est également intéressant de faire le même exercice en imaginant que nous ne changerons rien à notre identité. 

Que se passerait-il ? 
Où serions-nous dans deux à cinq ans, tant au niveau personnel, privé et professionnel ?

Une fois que vous comprenez votre identité

et ses limites, il est plus facile d’ouvrir la porte à votre potentiel.

Il devient clair que votre statut actuel ne convient plus, et que la seule issue consiste à explorer de nouvelles façons de voir le monde. Cette constatation représente votre engagement à explorer ce qui est vraiment possible. 

En comprenant les limites de votre identité, vous ouvrez une porte et vous faites un pas vers la découverte du pouvoir de votre potentiel.

Peut-être que vous voulez également que votre vie en général vous apporte davantage de satisfaction.

Les choses sont devenues stagnantes..., c’est comme si vous aviez besoin de trouver quelque chose qui raviverait votre vie.

Exercice d’épanouissement

Faire face à l’inconnu peut représenter un défi, car cela exige que vous acceptiez de ne pas trouver immédiatement toutes les réponses.

Marche à suivre :

  1. Réservez-vous environ trente minutes dans un lieu calme et privé où vous aurez peu de chances d’être dérangés, et munissez-vous d’une feuille de papier et d’un stylo.
  2. Dessinez un point au centre de la feuille et tracez un cercle autour de celui-ci.
  3. Divisez cette tarte en sections correspondant à quelques aspects clés de votre vie. Par exemple, vous pourriez étiqueter une section « argent », une autre « relation », une troisième « santé », etc.
  4. Pendant quelques minutes, imaginez ce que chacune de ces sections renfermerait si vous continuez à vivre sans changer quoi que ce soit pendant les deux prochaines années. Comment vous sentez-vous à cette perspective ?
  5. Pendant encore quelques minutes, considérez ce qui serait possible pour chacun des aspects de votre vie si vous vous aventuriez dans l’inconnu, si vous découvriez quelque chose de nouveau et d’important à propos de vous-même, de vos champs d’intérêt, de vos habiletés, et que vous exploitiez cette découverte pendant deux ans.
  6. Inscrivez ensuite les idées, les images et les sensations les plus importantes dans la section pertinente.
  7. Révisez ce que vous avez noté.

Comment vous sentez-vous devant le potentiel que la vie et votre situation vous offrent ?

Oui, il faut du courage pour se rendre dans l’inconnu

C’est pourtant ce que je vous encourage à faire. En prenant en main votre destin, et en sortant des sentiers battus, vous découvrirez certainement de toutes nouvelles pistes à explorer.

Oser, c’est se donner la chance de réussir.

Envisagez-le !

Vous avez aimé cette publication, et souhaitez laisser un message mais la case des commentaires est absente. Cliquez simplement sur le titre de l’article.

Articles apparentés

Explorez le pouvoir de votre mécontentement

Moi un procrastinateur ? Nous en reparlerons calmement demain...

"En suivant le chemin qui s’appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s’appelle jamais." Sénèque

La fâcheuse tendance à tout remettre au lendemain

De nombreuses choses nous font procrastiner. Que ce soit la peur de réussir ou de subir l’échec. Le « plaisir » d’avoir la pression, oui cela existe… Le besoin de se protéger contre tout et tout le monde. Le manque de confiance, ou encore le manque de motivation… la liste est encore bien plus long.

Ce qui est certain, c’est que la procrastination dégrade notre existence, nous empêche d’avancer et d’être heureux.

Pourquoi sommes-nous des procrastinateurs ?

Dans les formes légères, qui touchent quasiment chacun d’entre nous :

  • Je vais commencer demain, le mois prochain… le 1er janvier
  • Il me reste encore beaucoup de temps pour le faire…
  • Je n’aime pas les tâches ennuyeuses et répétitives…
  • Je dois d’abord finir une autre tâche (souvent sans importance)…
  • C’est trop difficile, je ne vais pas y arriver…
  • Je ne sais pas par quoi et où commencer…
  • J’aime avoir la pression — la raison du renvoi — cela me rend plus performant…
  • J’ai trop de travail (souvent inutile ou délégable)…

Peut-être que vous vous reconnaissez dans l’une ou l’autre, ou dans d’autres situations similaires.

Les conséquences peuvent être lourdes

Parfois, la procrastination peut passer inaperçu aux yeux de notre entourage. C’est le cas, lorsque le travail se fait à temps et que les délais sont respectés. Par contre, lorsque l’on dépasse les limites, cela peut devenir très contraignant.

Par exemple, lorsque :

  • Je dois continuer un paiement, pour quelque chose que je n’ai pas résilié à temps
  • Mon état de santé s‘aggrave, car je n’ai pas pris rendez-vous chez le médecin
  • Le lieu de mes rêves de vacances s’envole, car je m’y suis pris trop tard, etc.

Quand procrastinons-nous ?

Quasiment tout le temps, pour une chose ou une autre.

Parfois nous n’en sommes pas conscients, et il peut être très utile d’en parler à notre entourage.

Comment s’explique la procrastination ?

De nombreuses explications sont fournies par les spécialistes, en fonction de la gravité du cas. Il peut s’agir, d’une habitude, d’un dysfonctionnement de la personnalité, ou de symptômes de conflits plus profonds de dérangements neurologiques, ainsi que d’autres problèmes de maladies.

Quelques signes qui caractérisent le procrastinateur

  • Il prend des décisions, qui permettent de remettre à plus tard
  • Il doit augmenter la pression, positive ou négative, pour être en mesure d’exécuter la tâche
  • Il se fixe sur des intentions, qui ne deviennent jamais des actes
  • Il se prépare sans fin, car il semble toujours manquer ceci ou cela
  • Il navigue sans but précis, ce qui lui évite de passer à l’action
  • Il est impulsif et saute d’une tâche à l’autre
  • Il sous-estime le temps nécessaire, pour pouvoir commencer plus tard
  • Il diminue l’importance et la nécessité de la tâche, ce qui lui sert d’alibi

Si vous vous reconnaissez, dans l’une ou l’autre de ses caractéristiques, bienvenu au club.

Vous l’aurez compris, c’est un sujet vaste, qui peut nous compliquer la vie et celle de notre entourage.

La bonne nouvelle, chacun de nous peut s’améliorer.

Comment éviter la procrastination ?

En premier lieu, il est important de comprendre pourquoi nous sommes des procrastinateurs. Ensuite, il convient de démasquer les tâches que nous repoussons en permanence. Finalement, nous devons nous demander ce que sommes-nous prêts à faire pour que la situation change.

Que faire pour éviter la procrastination ?

Le but primaire est d’améliorer la situation qui nous fait le plus souffrir le martyre, en mettant en place un certain nombre de changements du style :

  • Faire une liste avec toutes les activités à faire, y compris les loisirs
  • Biffer tout ce qui ne sera de toute manière jamais fait
  • Déléguer tout ce qui peut l’être
  • Fixer des buts, des valeurs et des priorités par écrit
  • Contrôler si les tâches procrastinées correspondent à des buts et valeurs. Si ce n’est pas le cas, se concentrer sur celles qui correspondent et qui sont importantes
  • Prendre note du positif ou négatif probable, lorsqu’une tâche est terminée
  • Identifier les sentiments qui sont liées à une tâche, par exemple : peur, colère, manque d’envie, etc. espoir du succès, fierté d’avoir persévéré, reconnaissance par les autres, etc.
  • Planifier des petits pas et des étapes pour atteindre le but final
  • Faire une estimation du temps nécessaire, pour terminer la tâche, et multiplier par deux
  • Déplacer la date limite une semaine plus loin (lorsque c’est possible)
  • Débuter la tâche en imaginant une fin positive
  • Définir une récompense, et se récompenser vraiment, pour chaque succès
  • Observer, et retenir chaque changement dans un « journal du changement »
  • Commencer, même en l’absence de motivation… même si c’est difficile
  • Travailler aux projets prévus en reportant les résultats dans le « journal du changement », sans se laisser distraire par d’autres choses
  • Ce sont des activités simples que tout le monde peut mettre en œuvre de manière autonome et, ce sont autant de possibilités pour voir le bout du tunnel et avancer plus librement.

Quels sont les avantages de ne plus procrastiner ?

Comment vous sentez-vous lorsque vous avez fini une tâche que vous avez renvoyée à de multiples reprises ?

La réponse semble assez claire ; Super bien et soulagé, avec la ferme intention de ne plus être un procrastinateur dans le futur, mais voilà, on recommence encore et toujours le même cycle !

Une vie débarrassée de la procrastination ?

Imaginez une vie sans pression, sans retard, sans ennui ou des problèmes liés à la procrastination.

Vous le savez, votre vie serait d’une tout autre qualité. La décision de mettre un terme à cette manière de faire, où devrais-je dire de ne pas faire.

Pour cette raison, je vous encourage à sauter par-dessus votre ombre et de devenir un acteur de votre vie, plutôt qu’un spectateur qui subit le jeu des autres.

Être entrepreneur, est-ce une vocation ?

Pourquoi continuer à suivre le rêve des autres, plutôt que de vivre le mien ?

C’est la question qui me taraudait l’esprit depuis de très longs mois lorsque j’ai décidé, à la fin des années 80, de tenter le voyage.

Facile, dites-vous ? 

Non, loin de là !

Une vie sans âme

Cela faisait une dizaine d’années que je me baladais avec succès dans ma vie professionnelle, pourtant j’étais insatisfait. Seule la fin du mois, avec l'arrivée du salaire, me donnait une lueur de « bonheur ».

Je le savais, au fond de moi, cela ne pouvait durer éternellement. Le besoin de changement se fit d’ailleurs sentir de plus en plus fort, et il devenait urgent que je tente quelque chose d’autre, à ma manière.

Oui, il me tardait d’être enfin… LIBRE !

Je me rendis également compte, que j’étais un meneur plutôt qu’un suiveur. Dès lors la seule option valable me semblait être celle d'emprunter mon propre chemin, que je voyais déjà couronné de succès et de réussites.

La décision est prise

Le souvenir est encore très présent. C’était durant les vacances d’été, en 1988, que l’idée, de faire le grand saut dans l’entrepreneuriat, avait fini de germer dans mon esprit.

À la rentrée, tout était clair et, je pris la décision de quitter le cocon douillet et confortable, pour débuter une nouvelle vie, dont je ne mesurais pas encore toute son ampleur.

Si c’était une vocation ou le destin, je ne le savais pas à ce moment-là ni d'ailleurs à ce jour.

Ce qui est certain, c’est que j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait vraiment !

Un début en fanfare

Les choses sont immédiatement parties comme sur des roulettes. Tout fonctionnait à merveille. Les affaires et l’argent étaient au rendez-vous.

C’est bien ce que je pensais, c’est simple d’être entrepreneur.

Très rapidement, j’agrandissais le bureau et me trouvais à la tête d’une entreprise de service avec dix salariés, que je portais à bout de bras.

Oui, j’avais trouvé ce que je cherchais. Je pouvais mener les choses comme je l’entendais, travailler et m’entourer des personnes de mon choix que j’appréciais.

C’était la belle vie, que du bonheur… !

La fin douloureuse

Mais voilà, de croire que je pouvais me reposer sur mon succès, s’avéra rapidement être une grande erreur. La première crise arriva quelques années plus tard, pour me jeter dans le trou noir et vers l’échec de ma première entreprise tant encensée.

S’ensuivit la liquidation, et surtout le licenciement des personnes que j’appréciais. Ce fut un apprentissage, grandeur nature, qui laissa des traces indélébiles jusqu’à ce jour.

Ce jour-là une nouvelle vie, qui s’avéra très douloureuse, commença.

Je dus revoir mes valeurs, ma carrière, et ma vie financière de fond en comble… non sans mal !

Le renouveau perpétuel

Aujourd’hui, fort de cette expérience, j’ai compris que tout évolue en permanence. Rien ne reste stable et immobile pour ceux qui décident de se lancer le défi de l’entrepreneuriat, ni pour les autres d'ailleurs.

Également, qu’il faut être prêt à transformer l’échec en succès, et accepter que tout puisse arriver… même le pire !

Malgré tout, je reste convaincu que le chemin choisi fut le bon.

Il m’a fait grandir et devenir responsable de mes actes et de ma vie. 

Il me permet chaque jour de continuer à entretenir et développer mes rêves les plus fous et, de poursuivre ma mission de vie dans le respect de mes valeurs les plus profondes.

Je sais que rien n’est acquis, et qu’il faut rester vigilant à tout moment. Je sais également que seule cette voie me donne cette opportunité, que j’ai décidé de saisir.

Vous avez le choix

Quel qu’il soit, vous seul en êtes le maître.

Oui, vous assumez la responsabilité de votre futur qu’il soit bon ou moins bon. Ce sont vos pensées, vos paroles et vos décisions qui vont en décider.

Cela devrait être une bonne nouvelle, n'est-ce pas ?

Et maintenant que faire ?

Vous lancer, tête baissée, dans l’option de l’entrepreneuriat ? 

C’est une option que je ne saurais vous conseiller, à moins que vous ne soyez prêt à affronter vent et marées. 

Prenez-vous plutôt le temps qu’il faut pour décider, mais décidez! 

Contrairement à ce qui se dit ; ne pas décider est également une décision. Hum… je vois cela plutôt d’un regard mitigé. Oui, j’y vois au mieux un manque de clairvoyance et, au pire, un manque de courage.

Mes convictions

Expérience faite, la grande difficulté, c’est : trouver les bonnes personnes pour partager un rêve

Ce qui me fait dire qu’il faut beaucoup de courage, être très déterminé et croire en soi et sa bonne étoile. 

Si vous trouvez l’âme sœur, super, vous êtes un privilégié.

Voilà, c’est à vous de jouer, osez faire le premier pas vers la réflexion. 

Ce qui compte c’est d’y avoir pensé à un moment où l’autre dans sa vie, quelle que soit la décision finale, car, personne n’aime vivre avec des regrets… !