Développement personnel

Réveille ta passion et le goût pour la vie !

Qui est démuni de passion, rien ne lui sert d’avoir de la science.

Quand as-tu ressenti, pour la dernière fois, de la passion pour ce que tu fais ? Pour certains, cette réponse est simple. Pour d’autres elle peut être assimilée à un défi de taille.

Entre boulot, manger et dodo, il reste souvent très peu de temps pour la passion et les rêves.

La vie semble vide, fade et sans grand intérêts

Cela peut mener à la réflexion qu’il reste qu’un plan possible : attendre la retraite ou pire… la fin de vie !

La question que je me pose : sans passion, la vie est-ce vraiment la vie ou déjà la mort ?

“Celui qui se perd dans sa passion a moins perdu que celui qui perd sa passion.” Alexandre Jardin

Oui, me direz-vous, c’est facile de penser ainsi avec une vie et une profession intéressante. Alors que moi je me débats jour après jour dans la mouise. Entouré, que je suis, par une multitude de personnes négatives, des problèmes insolubles et, également, une ambiance triste et sans espoir.

AHA !

Vu sous cet angle, l’espoir de réveiller votre passion semble bien mince, c’est une certitude.

Finalement, peut-être que tel est votre destin… et qu’il vous faut bien vous résoudre à l’accepter.

HUM !

Est-ce vraiment ça la vie ?

En ce qui me concerne, j’ai décidé de voir les choses autrement. J’ai acquis la conviction que rien, ni personne, ne peut décider de mon chemin de vie. De ma passion. De mon bonheur.

“La passion n’a pas de temps à perdre, elle ignore la patience et les dires de courtoisie.” Louise de Vilmorin

Je reste le seul maître à bord, suis en mesure de passer d’un état à un autre — quoi que les autres puissent faire ou penser — je reste libre de mes choix.

Et vous, quel est votre choix ?

Voulez-vous être à l’image : chaque matin je saute du lit et atterris sur une mine. La mine, c’est moi. Ensuite, il me faut toute la journée pour rassembler les pièces… que me reste-t-il comme temps pour autre chose ?”

Ou au contraire : chaque matin je change l’emplacement du saut du lit. Lorsque j’ai trouvé l’endroit qui m’évite la mine, je pars du bon pied et poursuis toute la journée avec passion. Cela ouvre bien plus d’alternatives.”

Oui, vous l’aurez compris : c’est vous qui décidez de votre bien-être. Le bonheur peut venir que de l’intérieur, c’est la raison qui devrait vous pousser à vous y rendre plus régulièrement, voir, à terme, en permanence.

Démarrez immédiatement : passez à l’action !

La passion fera sans aucun doute partie de votre vie !

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L’échec est une option possible, pourquoi l’occulter ?

Parce que de nombreuses raisons peuvent nous pousser à ignorer ou à refouler cette réalité.

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L’occultation de l’échec est-elle innée ?

En ce qui me concerne, je penche plutôt vers l’option acquise. Car pour la plupart d’entre nous, et cela dès notre plus jeune âge, l’enseignement de notre entourage proche est d’être ou de devenir un gagnant et, dans le pire des cas, un gagnant à tout prix.

En d’autres termes : mieux vaut être un gagnant en apparence, et avoir un succès superficiel, plutôt qu’être un perdant aux yeux de tous.

Peut-être que cela vous parle, et que vous connaissez même des cas concrets…

Il est possible de tourner un échec en réussite

C’est une bonne nouvelle, et j’en ai eu la confirmation lors de la Nipconf du 30 octobre 2015 à l’EPF Lausanne (www.nipconf.com) ou j’oeuvrais dans la zone expérience en tant que modérateur du studio Nipconf.

Nous avions prévu d’installer, par l’intermédiaire de Sedat Adiyaman de la société neuchâteloise think2make, une boîte à idées géniale. Mais voilà, malgré un travail acharné de la part de Sedat, rien n’a fonctionné comme prévu.

Le jeudi soir déjà, nous avons dû nous rendre à l’évidence que la boîte à idées restera — sauf événement extraordinaire — sans idées. La déception était palpable, surtout pour le patron de la société think2make, qui semblais être au fond du gouffre et totalement démuni face à cette situation peu glorieuse.

Ici pourrait s’arrêter cette histoire…

Ce qui est loin d’être le cas !

Le vendredi, jour de la manifestation, nous aurions pu penser que Sedat serait terré dans une caverne en train de s’apitoyer sur son sort. Eh bien, non, il était là et bien là durant toute la journée. Il fut peut-être même un des derniers à quitter la manifestation le vendredi soir.

Oui, il était présent et en plus souriant et positif. Ce qui ne signifie nullement qu’il était heureux de ce qui venait de se passer. Mais ses pensées allaient vers une issue favorable, une analyse de la situation, et comment en retirer du positif pour le futur.

Ah bon…, me direz-vous

Il n’y a pourtant aucune raison d’être fier ou de célébrer, si ce n’est l’échec cuisant que lui et sa société venait d’essuyer.

J’ignore à partir de quel moment il a échafaudé le plan, et de faire la proposition d’en parler ouvertement et en direct à la radio. Quoi qu’il en soit, vers les 15 heures, il est venu me voir pour me parler de son idée. Il m’a proposé de faire une intervention, sous forme d’interview, où il parlerait de son échec aux auditeurs de la Nipconf.

Il m’a dit : notre société a pour habitude de parler des belles choses et de succès, mais rarement des échecs. Ces derniers font pourtant partie intégrante de notre vie, et sont omni présents dans le monde de la start-up… Boom, c’était dit, bien dit !

Autant de franchise, et de bon sens, ont fait que nous avons transformée son idée en action, ce qui reste comme une expérience très intéressante dans mon esprit (lorsque l’enregistrement sera publié, vous trouverez un lien ici).

Ce que j’ai également apprécié, c’est la manière, comment Sedat a géré la situation. Il a su transposer les choses de manière qu’elles trouvent une issue favorable.

Dans ce cas de figure, nous pouvons dire : il peut y avoir une issue favorable à tout problème, il suffit d’y penser.

Les enseignements

Rien n’est acquis d’avance, même lorsque nous pensons que c’est le cas.

Le fait de partager ses échecs (comme les réussites d’ailleurs) nous leur donnons toute une autre dimension.

Même lorsque tout semble aller de travers, il est possible d’en retirer quelque chose de positif.

Dix questions à explorer

  1. Sommes-nous réellement en échec ?
  2. Quelle est/sont le/les point(s) qui nous a/ont échappé(s) ?
  3. Avons-nous fait une erreur ?
  4. S’agit-il d’éléments que nous ne pouvions prévoir ?
  5. S’agit-il d’un problème unique ou récurrent ?
  6. Avons-nous sous-estimé la situation ?
  7. Étions-nous insuffisamment préparés ?
  8. Aurions-nous dû demander du soutien ? Si oui, à quel moment ?
  9. Comment pouvons-nous éviter ce genre de problème à l’avenir ?
  10. Que pouvons-nous apprendre de la situation, et comment la tourner à notre avantage ?

Vous trouverez certainement d’autres questions pertinentes, ce qui va vous permettre d’aller plus souvent vers le succès après un échec.

Un autre point important

Seules les personnes qui tentent quelque chose, peuvent subir des échecs.

De plus, chaque entrepreneur vous le dira : l’échec fait partie de la courbe d’apprentissage, et est nécessaire à la réussite.

Ce que je peux vous donner sur le chemin : Faites comme Sedat, tirez le meilleur de vos échecs, apprenez, et cherchez une solution favorable à toute situation quelle qu’elle soit.

Ma conviction

Lorsque nous sommes face à un échec, c’est (trop) souvent notre ego qui réagit. Nous avons tellement peur d’être jugés — vu que c’est ce que nous faisons nous-mêmes la plupart du temps — et, d’être estampillé comme perdant.

La seule chose qui peut nous faire échapper à cet engrenage, c’est d’accepter que les choses peuvent parfois aller dans le mauvais sens et qu’il vaut mieux s’en accommoder.

Trouvons le dialogue

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Créez un scénario pour votre projet

Notre rôle consiste à définir ce qu’est notre idée, à savoir ce qu’elle se veut, puis de la réaliser.

À l’image de ce que ferait un scénariste

L’idée est de partager votre projet en trois parties : le début, le milieu et la fin.

Que le projet soit d’ordre personnel ou professionnel, cela ne fait aucune différence. L’objectif est de créer un scénario de base logique — simple à comprendre et à mettre en œuvre — fondée sur une structure en trois actes.

Une astuce qu’emploient les scénaristes : Commencez d’abord par la fin. Si vous écrivez un film, commencez par élaborer le point culminant. Si vous ouvrez un restaurant, commencez par l’expérience que vous voulez procurer au client qui entre et qui commande un repas.

Ensuite, posez-vous la question : de quoi s’agit-il ? Une fois que vous aurez établi cela, la vision de l’état final sera claire. Et connaissant l’état final, vous saurez comment y accéder.

L’explication par le scénario de Moby Dick

Moby Dick, de quoi s’agit-il ?

Il s’agit de l’opposition entre la volonté humaine et la puissance cruelle de la nature, c’est-à-dire (selon la sombre vision du XIXe siècle de Melville), le Dieu de l’ancien Testament.

Donc, un monstre. Une baleine. Un cachalot blanc, parce qu’un cachalot blanc, c’est encore plus étrange et effrayant qu’un spécimen d’une autre couleur.

Puis, un mortel pour défier le monstre. Il doit lui-même être monstrueux. Obsédé, arrogant, obsessionnel, comme l’est le capitaine Achab.

Ayant défini notre thème — autrement dit, le sujet de Moby Dick — nous connaissons maintenant le point culminant : Achab harponne le cachalot blanc et l’affronte en duel jusqu’à la mort. 

C’est le seul aboutissement possible, et nous avons donc notre fin.

Partie suivante : début et milieu. Nous devons préparer le point culminant et le rendre le plus intéressant possible sur le plan des émotions et de la thématique.

Nous devons, autrement dit, définir le protagoniste et l’antagoniste. Montrer clairement au lecteur, ce que chacun représente et ce que signifie leur conflit sur le plan thématique au sens large de la condition humaine.

Début : Ismaël. Notre point de vue. Un témoin de la tragédie à l’échelle humaine.

Une fois Ismaël instauré, nous avons le début et notre fin ultime. Ayant détruit le Pequod et tout son équipage, le cachalot entraîne Achab dans les profondeurs… Ismaël échappe au naufrage, seul survivant, pour pouvoir raconter l’histoire.

Nous voilà prêts à appliquer cette démarche à nos projets personnels. Précédemment, juste un autre exemple sur un projet de start-up.

Facebook en trois actes

  • Fin : Une communauté mondiale d’amis qui peuvent interagir avec d’autres amis et leur transmettre ou partager avec eux pratiquement n’importe quoi
  • Début : Une plate-forme numérique où quiconque le souhaite peut créer, sans frais, sa propre page
  • Milieu : Chaque propriétaire de page détermine à qui il veut permettre l’accès et à quelles informations il peut accéder

Voici votre point de départ, voilà le plan à suivre pour participer à un triathlon, créer votre entreprise ou diminuer votre poids de corps. Décidez de là où vous voulez aller, puis faites marche arrière.

Votre scénario en trois actes : LE DÉBUT

L’objectif est de créer votre idée de base, avec les principales pulsations, sous forme de scénario.

Le premier acte présente le personnage principal ainsi que la majeure partie des personnages. Transposé sur un projet professionnel, ce sera de déterminer de quoi il s’agit, et en quoi le produit peut être utile pour l’acheteur. Pour un but privé, ce sera de déterminer la démarche que nous voulons entreprendre, comme diminuer, par exemple, le poids de corps et avec quels outils nous allons le faire.

À la fin de celui-ci, on va placer un événement qui bouleverse la vie du personnage principal. Il a, suite à ce bouleversement, un but difficile ou une quête à atteindre qui est suffisamment motivant pour aller au bout des trois actes.

Ce processus de création se fait en deux étapes : l’action et la réflexion. Agissez (coucher des mots sur le papier ), réfléchissez (évaluer ce qui est inscrit). Agissez — réfléchissez. Évitez d’agir et de réfléchir simultanément.

Tenez également compte des points suivants :

  1. Commencez avant d’être prêt !
    Cette démarche a des conséquences positives. D’abord, cela démontre que nous avons le courage. Ensuite, comme par enchantement, le courage engendre le courage.
    W.H. Murray a dit : Jusqu’au moment où l’on s’engage, il n’y a qu’hésitations, occasion de revenir en arrière et inefficacité. Concernant tous les actes exigeant initiative et création, il y a une vérité élémentaire dont la méconnaissance a fait avorter des idées innombrables et des projets fabuleux : c’est qu’à l’instant où l’on s’engage pour de bon, que la providence se met en marche à son tour. Il se produit alors toutes sortes de circonstances favorables qui autrement ne se seraient peut-être jamais manifestées. La décision engendre un courant d’événements qui suscite sur son passage une variété d’incidents imprévus et bénéfiques, de rencontres et de soutiens matériels dont personne n’aurait osé rêver.
  2. Éliminez les recherches préalables
    Nous voulons travailler, et non nous préparer à travailler !
    Avant de vous lancer, vous voulez vous documenter. Non, plus tard, commencez immédiatement !
    Car, les recherches peuvent se transformer en résistance. Contentez-vous de quelques lectures, et laissez vos idées prendre le dessus. Plus tard, si vous le jugez utile, vous pourrez faire des recherches sérieuses et systématiques.
  3. Restez primitif
    Car la conception a lieu au niveau primitif.
    La chambre d’hôpital a beau être irréprochable et stérile. La naissance, elle-même se fait souvent dans le chaos, la douleur, et le sang. Il en est de même pour la plupart des projets.
  4. Visez haut
    Sans jouer le tout pour le tout dès le départ, jamais nous ne réussirons à atteindre le haut du pavé avec un saut.

Votre scénario en trois actes : LE MILIEU

Le deuxième acte nous montre le personnage en quête d’un nouvel équilibre. C’est la partie la plus longue du film. Dans le cas du projet, ce sont les moyens que nous allons mettre en œuvre pour réussir à atteindre le but final.

Pour cela, il rencontre des alliés, des ennemis. Des épreuves se dressent devant lui. Ici nous sommes dans le ventre de la bête, où nous devrons trouver de nombreuses solutions, adapter, modifier, et passer par bien plus d’épreuves qu’il nous est généralement agréable.

À présent il convient de

  • Compléter le scénario de base par sept ou huit scènes, séquences ou, de moments merveilleux, divertissants et enrichissants. Ici nous sommes en plein dans l’établissement de la VP (Values propositions) et du BMC (Business Model Canvas) voir du Business Plan.
    a. Une scène d’ouverture impressionnante
    b. Au milieu, deux principaux éléments autonomes
    c. Un point culminant époustouflant
    d. Un condensé du thème
  • Faire des recherches plus approfondies, si nécessaire, sur les divers sujets traités
  • Faire le plein, de ce dont vous avez besoin pour remplir les espaces
  • Travailler sans répit

Cesser de vous autojuger — Exclure l’auto-jugement ne veut pas seulement dire chasser notre voix intérieure qui dit, tu es nul. Cela signifie aussi nous libérer des attentes conventionnelles concernant la tournure que doit ou devrait prendre notre travail — laissez votre critique intérieure à l’extérieur.
Agissez et réfléchissez, deuxième partie. Jusqu’ici la devise était agissez, ne pensez pas. Nous allons à présent passer à agissez, puis réfléchissez.
Voici comment vous pouvez vous y prendre
-
Au moins deux fois par semaine, vous faites une pause en plein travail et entrez en réunion avec vous-même. (Si vous faites partie d’une équipe, vous convoquez une réunion d’équipes)
- Vous vous reposez la question, c’est-à-dire ce projet, de quoi s’agit-il ? Quel en est le thème ? Tous les éléments servent-ils bien ce thème ? Parfois c’est un véritable enfer de trouver la bonne réponse. Beaucoup de projets ont couru à leur propre perte, par manque de confrontation à cette question et de sa résolution.

  • Remplissez les espaces, deuxième partie
  • Posez-vous la question : que manque-t-il ? Puis remplissez l’espace.

Le deuxième acte se termine par un rebondissement qui donne une nouvelle direction à la quête. Dans le projet, c’est à ce moment que nous pouvons mettre une version bêta ou finale sur le marché

Remplissez les espaces, car les idées viennent rarement linéairement. Les idées naissent selon leur propre logique. Or cette logique est souvent irrationnelle et peu linéaire. Ainsi, le milieu peut vous venir avant la fin, ou la fin avant le début.

Soyez prêt pour cela !

Votre scénario en trois actes FIN

Le troisième acte est le plus court et nous décrit la dernière étape de la quête. Le personnage se voit confronté à une ultime épreuve dans laquelle il doit mettre toutes ses ressources, pour finalement triompher ou échouer sans retour possible. Lors de notre projet, c’est le moment de livrer le produit.

Pourquoi est-il essentiel de livrer ?

Parce que : terminer c’est la partie décisive de n’importe quel projet. Si nous ne pouvons terminer notre travail, il n’aura servi à rien.

Ainsi, la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d’action. -Hamlet

Chaque personne qui a déjà créé une start-up sait que la résistance est à son comble vers la fin. À ce moment il est essentiel de faire ce qui doit être fait, quitte à sembler cinglé ou excentrique, pour terminer et être prêt à livrer.

Lorsque nous livrons, nous sommes exposés

Voilà pourquoi cela nous fait si peur.

Lorsque nous livrons, nous nous exposons au jugement du monde réel. Le monde réel se prononcera sur notre travail et sur nous. Lorsque nous livrons, nous sommes exposés à l’échec. Lorsque nous livrons, nous nous exposons à l’humiliation.

En même temps : il n’y a rien de tels pour nous rendre plus forts parce que cela nous plante solidement sur la planète terre, et nous débarrasse de nos fantasmes et de notre manque de lucidités auto-destructrices et nombrilistes… LIVREZ !

J’avais trente-sept ans, j’avais abandonné tout ce qui est normal dans la vie pour poursuivre mon rêve de devenir entrepreneur.
Je ne suis qu’un perdant, un imposteur ; ma vie est dépourvue de sens, et moi aussi.

Lorsque ce genre de pensées vous envahit, la question se pose : allez-vous renoncer ? Certainement non ! Réjouissez-vous, vous êtes là où vous vouliez être, n’est-ce pas ? Vous avez subi des revers, et alors ! C’est le prix à payer pour être dans le stade plutôt que sur la touche.

Cessez de vous plaindre et soyez reconnaissant.

C’est dans ce moment-là que vous allez vous rendre compte que vous êtes devenu un pro. Vous n’avez pas encore connu le succès, mais vous avez fait l’expérience d’un véritable échec.

Tuez le dragon une fois, et il n’aura plus jamais la mainmise sur vous. L’ayant vaincu une fois, vous saurez que vous pouvez le battre encore. C’est un vrai changeur de donne. Voilà qui transformera votre vie.

Livrez toujours. Expédiez toujours.

Lorsque vous avez terminé, récompensez-vous !

Puis retournez au travail et recommencez, avant même d’être prêt, le prochain projet.

Ce qui est à retenir

Tous nos projets peuvent être abordés sous une forme de scénario en trois parties.

La première : LE DÉBUT consiste à déterminer de quoi il s’agit.

La deuxième : LE MILIEU, ce sont les moyens que nous allons mettre en œuvre pour réussir à atteindre le but final

La troisième : LA FIN, à achever et à livrer.

La mise en scène de notre projet est aussi importante que le scénario. Chaque déplacement est une pierre qui se rajoute à notre œuvre.

Un peu de sagesse pour commencer

Exercice issu du livre de Patricia Ryan Madson « Improve Wisdom » :

Imaginez une boîte munie d’un couvercle. Prenez la boîte entre vos mains. Maintenant, ouvrez-la. Que voyez-vous à l’intérieur ?

Peu importe le nombre de fois que vous l’ouvrez, il y a toujours quelque chose à l’intérieur.

  1. La passion : Comme un enfant, qui joue avec passion à longueur de journée. Chacun de nous a cette faculté en lui, qu’elle soit présente ou en sommeil, il suffit de faire les bonnes choses pour qu’elle se manifeste.
  2. L’aide : Si la résistance est l’ombre, l’aide est le soleil.
  3. Les amis et la famille : Il ne nous restera plus que deux choses lorsque nous aurons rejoint l’autre rive, notre génie inné et les cœurs qui nous sont chers.

Mettez à présent votre idée par écrit

Il sera toujours temps de l’ajuster ensuite.

  • Divisez votre feuille de papier grand format en trois parties : début, milieu et fin
  • Tracez-en les grandes lignes, en suivant votre instinct et sans vous arrêter !
  • Terminez la première version de votre projet d’A à Z aussi rapidement que possible
  • Ne vous préoccupez pas de la qualité. Passez à l’action sans penser (lorsque je vous dis ne pensez pas, cela signifie : n’écoutez pas ce bavardage, qui défile sur l’écran de votre cerveau. Ce ne sont pas vos idées, ce n’est que du bavardage, de la résistance)
  • Commencez par la fin ! Si vous ouvrez un restaurant, commencez par l’expérience que vous voulez procurer au client qui entre et qui commande un repas
  • Établissez le concept de base
  • Répondez à la question de quoi s’agit-il ? Une fois que vous aurez établi cela, vous aurez une vision claire de l’état final. Et connaissant l’état final, vous saurez comment y accéder
  • Complétez le début
  • Complétez le milieu
  • Une fois que vous avez rédigé votre projet en trois actes sur une feuille de papier grand format, posez-vous les questions suivantes :
    a. Êtes-vous satisfait avec le concept et le thème ? (Dès que vous avez défini le thème, rien d’autre ne devrait plus venir s’intercaler dans le projet.)
    b. Aimez-vous votre idée ?
    c. Votre instinct vous dit-il qu’elle est juste ?
    d. Êtes-vous disposé à souffrir pour la réaliser ?
  • Il ne vous reste plus qu’à retenir trois mantras :
    a. Restez primitif
    b. Faites confiance au chaos
    c. Visez haut

Maintenant : soyez prêt à lutter contre la résistance.

Démarrez votre projet

L’univers est aussi activement bienveillant. Vous devez bien le ressentir actuellement. Vous devez sentir comme un vent arrière.

Vous l’artiste ou l’entrepreneur déversez votre amour dans votre travail ; vous l’imprégnez de passion, d’intention et d’espoir. C’est du sérieux. L’univers répond à cela. Il n’a pas le choix.

Un travail en cours génère son propre champ énergétique, créé par votre volonté et votre attention. Ce champ attire dans son orbite des entités de même nature. Quelles entités ? Les idées !

Vous avez à présent un outil qui peut vous être utile pour avancer dans vos projets, utilisez-le … peut-être que vous serez surpris du résultat.

Le choix est entre vos mains, faites le mieux possible !

BRAVO ! Je lève mon chapeau à celui qui a conduit ce bateau en mer et l’a rapporté au port sain et sauf.

Mes convictions

Pensez-y : De nous faire plus petit que nous ne le sommes, ne sert nullement le monde. Il n’y a aucun mérite à se diminuer soi-même pour que les autres se sentent en sécurité.

Nous sommes là pour briller de tout notre éclat, comme le font les enfants, et pour manifester au grand jour la gloire qui est en nous. Et cette gloire ne réside pas seulement en quelques-uns d’entre nous, mais en chacun.

Quand nous laissons resplendir notre propre lumière, sans le savoir, nous donnons aux autres la permission de faire de même.

Lorsque nous nous libérons de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres.

Une personne perplexe se tient devant deux portes. Sur la première, on peut lire CIEL et sur l’autre, LIVRES PARLANTS DU CIEL. Pourquoi avons-nous tendance à opter pour la porte qui dit ; livres parlants du ciel ? 
Sommes-nous timides à ce point ? Avons-nous aussi peu de cran ?

Il m’a fallu bien des années pour comprendre vraiment cette citation. Même que le courage, je l’ai toujours eu, il m’a fallu plus de temps pour comprendre qu’il était inutile de lire mille livres, si je les fermais ensuite pour reprendre mon train-train journalier.

Peut-être que vous faites également partie de ce groupe de personnes, qui compte une (trop) grande communauté à travers le monde.

Lecture proposée

Go! AGISSEZ! de Steven Pressfeld — Éditions du trésor caché — ISBN 978–2–922405–94–1 — www.tresorcache.com

Le roi du rebond… réussi !

Si vous êtes entrepreneur, ou que pensez créer votre start-up, mieux vaut faire partie de ceux qui savent rebondir rapidement.

Vous êtes-vous déjà posé la question, comment certains font pour se sortir des pires des situations ?

Comment arrivent-ils à rebondir, après des épreuves et des échecs importants, pendant que d’autres restent terrés dans leur chagrin, et apitoiement, durant une bonne partie ou le restant de leur vie.

Je me réveille sans envies ni buts précis

Une sensation que vous avez certainement déjà vécue dans votre vie, ou que vous vivez peut-être en ce moment même.

C’est un peu comme, lorsque…

Qu’il fasse beau ou, encore pire, mauvais temps, rien ne semble ressembler à une lueur de bonheur ou d’espoir. Tout est noir, au mieux gris foncé, et les idées sont de la même couleur.

Oui, c’est un mauvais passage. Nous ne nous y sentons que peu à l’aise, mais pensons que c’est notre destin et qu’aucune solution valable est à l’horizon.

C’est à peu près ainsi que nous nous sentons lorsque nous sommes au fond du gouffre. Un état des plus désagréables et d’autant plus alarmant, lorsque nous sommes entrepreneurs ou dans la phase de lancer notre start-up.

Les déclencheurs sont multiples

Il peut s’agir de banalités — ce qui est souvent le cas — comme de choses plus sérieuses. Une déception d’avoir passé à côté de quelque chose, d’avoir subi un mauvais traitement, ou encore la disparition d’un être cher à notre cœur.

Quelle que soit la raison, nous sommes blessés, déçus, tristes, voir en rage.

Cela empêche de penser de manière constructive

Et signifie souvent que nous restons terrés au fond de notre gouffre inconfortable et sombre.

Pourtant — dans la plupart des cas — il faut très peu de choses pour voir que le gouffre est peu profond. Il suffit juste de se lever pour constater que le soleil brille toujours, ce qui nous donne la force de repartir et de voir les choses telles qu’elles sont réellement.

Vous avez plus de ressources que ce que vous pensez

En regardant les choses sous autre angle, nous découvrons une autre réalité. Nous prenons conscience qu’en changeant notre approche, et notre interprétation des choses, cela nous ouvre de toutes nouvelles perspectives pour le futur.

Nous constatons que le mal que nous subissons, c’est nous qui nous l’infligeons. Que ce soit pour des raisons d’ego, de suffisance ou simplement pour des raisonnements de confort.

Loin de moi de vouloir affirmer qu’il est toujours possible de s’en sortir seul, dans beaucoup de situations c’est néanmoins le cas. Lorsque s’est plus compliqué, il peut être indiqué d’avoir du soutien de la part d’une tierce personne pour qu’elle puisse fournir les outils nécessaires pour s’en sortir.

Il peut s’agir d’un proche, d’un ami, ou toute autre personne capable de le faire. 

Pensez-y : Le fait de demander du soutien est un signe de force de caractère.

Oui, nous avons le choix

Même si cette option est parfois occultée, au fond du gouffre, elle existe bel et bien. De savoir que cette alternative est présente, peut nous donner la force nécessaire pour sortir de notre “petit lit douillet” ou tout semble immuable et sans issue…

En prendre conscience est certainement le premier pas vers le changement, un état tellement redouté par la plupart d’entre nous. Car, le changement signifie aussi : du terrain inconnu et peu rassurant.

Osez faire le pas vers l’inconnu… c’est là que la vie se passe.

Cela est d’autant plus vrai, lorsqu’il s’agit d’une start-up ou d’une entreprise établie

En y regardant de plus près, il vous sera souvent possible de trouver une solution “viable” et une lueur d’espoir pour relever la tête et faire le pas supplémentaire nécessaire.

De penser que la solution réside chez les autres, est souvent erroné. 

Nous possédons régulièrement la bonne solution, mais l’ignorons… ou nous décidons de l’ignorer. Est-ce la bonne solution ?

En d’autres termes

Nous vivons tous des hauts et des bas, ceux qui font la différence, ce sont ceux qui prennent le taureau par les cornes, regardent la situation depuis plusieurs points de vue, et qui changent ce qui doit être changé.

Vous faites partie de quel groupe ?

Ceux qui subissent et se plaignent, ou ceux qui sont prêts à changer quelque chose, même s’il faut prendre des risques ?

Les dix points à retenir

  1. Chaque personne vit de bons et de moins bons moments dans sa vie
  2. Souvent ce sont les petits détails qui déclenchent les blessures en nous
  3. Pour y voir plus clair, il suffit souvent de voir les événements de plusieurs angles
  4. Avant de chercher chez les autres, regardons d’abord chez nous
  5. Nous avons très souvent la solution en nous, il faut juste l’accepter
  6. Ce qui peut nous en empêcher, c’est : l’ego ; le manque de confiance ; la peur du changement ; la peur de l’inconnu ; ou encore le confort
  7. Nous avons le choix de nous apitoyer sur notre sort, ou de prendre notre destin en main
  8. Osez faire le pas vers l’inconnu… c’est là que la vie se passe.
  9. C’est également l’endroit où vous trouverez les solutions dont vous avez besoin
  10. Si la situation est plus compliquée, osez demander du soutien, c’est également un signe de force de caractère

Une solution possible

Travailler sur ses capacités de résilience

À l’origine, il s’agit d’un terme utilisé en physique pour désigner la résistance aux chocs d’un métal. Par extension, on a adopté ce terme pour désigner, dans divers domaines, l’aptitude à rebondir ou à subir des chocs sans être détruit.

Définition du Dr. Boris Cyrulnik — Psychiatre et directeur d’enseignement en éthologie à la faculté des lettres et des sciences humaines de Toulon 

“Je ne parle ici que de cette capacité que nous avons de rebondir, une qualité que nous devons au fait d’avoir surmonté l’épreuve d’un passé difficile. C’est ce que j’appelle la résilience, une qualité utile au point qu’il nous arrive de nous demander comment ceux qui n’ont pas eu à la forger dans l’enfance parviennent à affronter les vicissitudes de la vie.”

En d’autres termes, la résilience définit la capacité pour un individu à faire face à une situation difficile, où génératrice de stress, et à se développer dans des environnements qui auraient dû être endommageant.

Elle serait rendue possible grâce à la structuration précoce de la personnalité, par des expériences constructives de l’enfance, parfois par la réflexion, la parole et, plus rarement, par l’encadrement médical d’une thérapie.

Le concept de résilience ou l’art de naviguer entre les torrents est dynamique. Huit processus, qui contribuent à la résilience, ont été repérés

  1. La défense — protection
  2. L’équilibre face aux tensions
  3. L’engagement — défi
  4. La relance
  5. L’évaluation
  6. La signification — évaluation
  7. La positivité de soi
  8. La création

Ce qui semble acquis

Dans certains cas, la résilience aurait pour effet de rendre les individus meilleurs qu’auparavant, plus forts, plus cohérents, davantage capables de résister aux agressions et de faire face aux avatars de l’existence, plus sereins ; justifiant ainsi le qualificatif de merveilleux malheur proposé par Cyrulnik (1999), qui utilise la métaphore de l’oxymoron pour souligner que la résilience unit “la faiblesse et la force” et “la douleur et le triomphe”.

Sur le plan pratique, on observe l’adoption de nouveaux comportements traduisant une meilleure insertion dans le monde et une reconquête de l’autonomie. 

Ce qui me fait dire que le sujet — vaste, j’en conviens — vaut largement de détour pour chacun d’entre nous.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la résilience, vous trouverez de nombreux ouvrages et contributions à travers l’Internet.

Pensez-y : la bonne intention pousse à l’action

Êtes-vous prêt à affronter l’inconnu ?

À prendre les risques nécessaires pour faire le pas de plus qui va vous donner une meilleure vie ?

Cette meilleure vie peut se décliner sous diverses formes. Que ce soit d’avoir un esprit libre, une plus grande harmonie de vie, soit encore plus de succès dans son entreprise.

Vous seul savez ce qu’une meilleure vie signifie pour vous… 

De tout mettre en œuvre, de ce qui est nécessaire pour vous en approcher, pourrait être un challenge intéressant.

Qu’en pensez-vous ?

Mes convictions

Lorsque je me trouvais au fond du gouffre — ce qui m’est arrivé à plusieurs reprises dans ma vie — j’ai toujours tenté de m’accrocher à quelque chose qui avait de la valeur pour moi. Que ce soient mes valeurs de base, ma vision de vie où ma mission, ces points m’ont souvent servis — à l’image des étoiles pour ceux qui voyageaient, jadis, sans boussole dans le désert — pour m’orienter en gardant un certain cap.

Même si les choses furent parfois bien compliquées, j’ai ainsi pu garder la tête au-dessus de l’eau, tout en progressant sans cesse dans ma vie.

Chacun de nous à la possibilité de faire ses choix. Si quelqu’un vous dit le contraire : mettez ses paroles en doute et vérifiez ses dires.

L’essentiel pour bien faire, être JUGAAD !

Il me manque ceci et cela pour réussir, ce qui rend mon succès improbable… voire impossible.

Vous connaissez certainement cette phrase, ou quelque chose de similaire, et tout le désespoir qui l’habite.

L’absence de quelque chose — dont vous pensez avoir besoin absolument — pour mener à terme votre tâche, atteindre vos objectifs, vos buts, ou encore pour vous approcher de votre vision qui semble d’un coup s’éloigner loin de vous.

L’évolution de la roue démontre qu’il est possible d’améliorer l’existant, sans tout recommencer à zéro.

Dans le monde de la start-up…

Il s’agit souvent des moyens matériels et financiers.

Le manque qui rend “service”...

Surtout lorsque nous cherchons des excuses pour éviter de commencer, de continuer, ou de terminer une activité qui nous est dédiée. Dans ces moments, nous nageons pleinement dans la procrastination, tellement répandue parmi nous.

Même s’il est vrai, dans certains cas, que nous avons besoin de soutien, d’un objet, ou toute autre chose, pour commencer ou poursuivre, c’est souvent un prétexte.

Vous le savez et je le sais également très bien.

Malgré tout, il semble que nous soyons capables de nous complaire dans cette situation, pourtant peu reluisante, et de la faire durer.

Il y a pourtant des alternatives, comme : Envisager de voir la chose d’une manière plus innovante tout en restant le plus simple possible.

L’objectif pourrait être de devenir : JUGAAD

Qui est un nom hindi signifiant : faire mieux avec moins

C’est une approche qui pousse à faire avec ce que nous avons, plutôt que de chercher ce qui nous manque.

J’ai décidé d’être JUGAAD le plus souvent possible. Cela ouvre de nouvelles perspectives, et donne également une autre vie aux choses.

Cela va nous permettre d’utiliser le savoir-faire des autres, tout en y mettant notre touche personnelle.

Les conditions pour être un innovateur JUGAAD

  1. Rester simple, en trouvant dans son environnement proche des moyens de faire les choses mieux. Souvent elles sont devant nous, mais à force de nous dire qu’il nous manque ceci et cela, nous les ignorons très souvent
  2. S’abstenir de réinventer la roue, en adaptant et en améliorant, l’existant, plutôt que de vouloir à chaque fois recommencer à zéro. Cela n’exclut nullement l’innovation, bien au contraire, car il est souvent possible de faire mieux que ce qui existe en changeant simplement quelques éléments à notre disposition. Les exemples sont d’ailleurs multiples dans divers domaines.
  3. Avoir un mode de management horizontal, en décloisonnant la lourdeur hiérarchique. À l’image de l’organisation fractale, ou d’autres organisations comme l’entreprise libérée, il est possible de faire des grands pas en avant. Les personnes se sentent plus responsables et s’impliquent davantage dans l’organisation, ce qui rend souvent l’acquisition de ressources supplémentaires inutiles.

En y regardant de plus près, nous pouvons facilement nous apercevoir que c’est atteignable et possible dans beaucoup de situations de notre vie personnelle et professionnelle.

Cet état de fait pourrait nous pousser à tenter le coup !

En résumé

De penser qu’il manque régulièrement quelque chose pour pouvoir démarrer, est souvent une simple excuse qui évite de commencer ou de continuer ce qu’il y a à faire.

C’est la raison qui pourrait nous décider à devenir un pro du JUGAAD, ce qui sera certainement utile pour beaucoup d’entre nous.

D’être plus simple dans notre approche des choses, et de chercher plutôt à améliorer l’existant plutôt que de réinventer la roue, ne va non seulement nous faciliter notre existence mais également celle de notre entourage.

Les dix choses à retenir

  1. Repousser et trouver des excuses, pour ne rien faire, est à proscrire
  2. Apprenons à être JUGAAD, qui consiste à faire mieux avec moins
  3. Tout en restant le plus simple possible
  4. Sans réinventer la roue, nous pouvons réadapter ou améliorer l’existant
  5. En mettant, par la même occasion, en place un mode de management horizontal, nous allons créer une nouvelle dynamique
  6. Qui améliore la responsabilisation de l’équipe
  7. Tout en leur donnant plus de motivation
  8. Lorsqu’il est question d’innovation, pensons que c’est quelque chose qui s’applique à l’entreprise, comme a l’individu
  9. L’objectif final, outre l’innovation, devrait être faire croître l’expertise de chacun
  10. Et de créer un esprit d’équipe, pour trouver des solutions en commun

Comment changer ses habitudes ?

  • En prenant conscience de nos habitudes, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, en cherchant à comprendre l’origine de nos habitudes (craintes, paresse, confort, etc.)
  • En simplifiant notre manière de penser, d’organiser, et d’effectuer nos tâches
  • En restant à l’écoute de son équipe, ou des autres personnes de notre entourage
  • En osant demander du soutien à autrui, et d’en donner, si nécessaire
  • Éliminer les mauvaises habitudes, pour les remplacer par des bonnes…

Comment être JUGAAD ?

Car, il s’agit de cela. Mais également, de comprendre que nous avons très souvent tout ce dont nous avons besoin pour bien faire, même pour mieux faire, d’ailleurs.

De garder à notre esprit que ce qui est valable en entreprise, pour innover… l’est également à l’échelle individuelle.

La vocation d’une entreprise ou d’individu

Est de permettre à chaque membre de l’entreprise ou de la communauté de croître en expertise. Cela peut être atteint en répondant aux questions des uns et des autres, et en collaborant pour trouver des solutions qui mènent vers une situation de gagnant — gagnant.

Vous avez les outils pour bien faire. De plus, l’avantage des idées innovantes — qui prennent forme dans notre esprit — c’est qu’elles sont gratuites.

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