Attitude

Le succès, il commence où ?

Il y a autant d’interprétations, que d’êtres humains

Chacun de nous le définit d’une autre manière, et en fonction des priorités qu’il se fixe dans sa vie. Si pour une grande partie l’argent tient le haut du pavé, pour d’autres c’est la réussite socioprofessionnelle ou encore familiale qui peut primer.

Je peux affirmer, sans grand risque, que chacun d’entre nous définit le succès de manières différentes en fonction des priorités qu’il s’est fixé.

Si je transfère le mot succès sur une startup, nous nous trouvons exactement devant le même dilemme… 

Seule certitude, ceux pour qui l’argent et la réussite sociale sont les principales motivations, la probabilité de passer par des moments difficiles semble programmé.

Plusieurs sages l’ont dit bien avant nous

Il est bon de connaître la destination de son voyage. Le plus important, cependant, c’est d’aimer le chemin qui y mène.

À quoi bon avoir du succès, si vous n’éprouvez aucun plaisir à ce que vous faites ? Autre question : peut-on toujours utiliser le mot succès dans ce cas ? 

Nous y voici, à l’interprétation du… succès.

Et vous, comment définissez-vous votre succès ?

Finalement, c’est la seule chose qui compte. 

Personne n’est en mesure de vous le dire, même s’il y a de très nombreuses personnes qui tentent de vous faire croire qu’ils le savent. Pires, qui tentent de vous le faire prendre pour argent comptant.

Savoir est un bout du succès

Il est essentiel, voire indispensable, de faire un dessin de son propre succès. 

Ainsi, vous serez également plus à même de laisser de côté les nombreuses sollicitations et autres fausses pistes qui vous seront proposées sur votre chemin du succès.

Y réfléchir, de temps à autre, semble être un bon plan

Savoir où nous voulons aller, et ce que nous voulons atteindre, va nous permettre de célébrer nos succès. Nous faire prendre conscience où nous allons réellement. Démontrer si nous ignorons une partie ou tout sur le sujet.

Dessinez le chemin vers VOTRE succès

Contentez-vous en aucun cas de suivre les chemin des autres et, mettez tous les atouts de votre côté pour célébrer des succès à votre image.

Essayer c’est le premier pas, d’autres suivront…

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L’homme de Cro-Magnon

Comment puis-je reconnaître si je fais également parti des êtres qui se complaisent dans les affrontements à la « testostérone » ?

Ce que nous savons, en l’absence de conflits et problèmes, s’évanouit souvent comme un mirage, lorsque nous en aurions le plus besoin. Dans ces moments nous redevenons, en quelque sorte, l’homme de Cro-Magnon, qui pense qu’il doit lutter pour sa survie. 

C’est étonnant, oui, ça l'est en effet !

La seule chose que nous pouvons faire, c'est de prendre du recul lorsqu’une telle situation se présente. D’agir avec moins d’impulsivité, et de garder le contrôle sur nos ressentis et nos paroles. 

C’est plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous.

C'est certain, or, il faut bien commencer avec un premier pas pour devenir un champion.

Il y a des signes précurseurs, comme la moutarde qui nous monte au nez, si je puis dire. Ce signe, nous devrions le prendre au sérieux et agir en conséquence. 

Chez certains c'est le sang qui monte à la tête, ce qui provoque une chaleur intense immédiate. Chez d’autres, c’est l’estomac qui se noue, ou encore les jambes qui semblent se dérober. Voyez comment vous réagissez, vous trouverez rapidement les signes annonciateurs chez vous.

L’objectif étant de gérer de mieux en mieux ces situations, qui laissent souvent des traces indélébiles chez vous et les autres, par la suite.

Pensez-y, votre bien-être, et celui de votre entourage, est en jeu.

La responsabilité

Être responsable, dans toutes les situations de la vie, devrait faire partie de nos acquis de base.

Je n’y suis pour rien...

Cela vous dit quelque chose ?

Souvent dit, ou entendu, c’est une manière comme une autre, de ne pas prendre ses responsabilités. La résultante est souvent un déplacement du problème, au lieu de la résolution.

De penser que nous devons chercher la responsabilité chez l’autre, avant de nous mettre en question, est un mal bien ancré dans la société. Nous préférons largement la gloire d’un succès, que la responsabilité d’un projet qui tourne moins bien. 

Nous pourrions nous poser la question, pourquoi il en est ainsi.

Il est certain qu’il est plus agréable d’avoir des succès à son actif, plutôt que des échecs.

Si nous posons la question à une équipe pour savoir ce qu’ils apprécient le plus chez un autre membre de l’équipe, ce sont très régulièrement les mots : qui prend ses responsabilités, qui font surface. En d’autres termes, qui es capable d’admettre une erreur, ou avoir été à l’origine d’une mauvaise décision, qui a mené à l’échec.

Le leadership c’est également et surtout cela. Savoir admettre que chaque personne a droit à l’erreur. Et que c’est une force de les admettre et de faire face à ses responsabilités, même si c’est désagréable.

Dans un monde où l’ego est encore (trop) souvent le maître des lieux, penser et pratiquer un changement dans ce domaine est à assimiler à un challenge pour beaucoup d’entre nous. 

Le fait de prendre conscience de cet état de fait, est déjà un grand pas dans la bonne direction. Il va nous permettre de voir les choses avec une autre vision, des idées plus claires et la capacité à analyser nos actes. L’objectif étant de changer nos paradigmes, et d’être plus pragmatique dans les situations qui l’exigent.

Rien, non, rien n’est parfait... mais, finalement, est-ce nécessaire ? 

C’est une question à laquelle j’ai fini par répondre, heureusement. 

Même si j’attache beaucoup d’importance aux choses bien faites, j’ai appris qu’il valait mieux, pour moi et les autres personnes autour de moi, que je me contente de faire le mieux possible.

Et vous, comment abordez-vous ce sujet aujourd’hui ?